Samuel Eto'o est un homme riche
La presse attribue à Samuel Eto'o Fils, une fortune estimée à 270 millions d'euros. L'ancien buteur du Real Madrid fait ainsi partie des joueurs africains les plus riches de tous les temps. Même à la retraite, Eto’o brasse toujours des millions en Euro. L’ancien capitaine de l’équipe nationale du Cameroun a un nom qui vaut de l’argent.
Il a de nombreux partenariats avec de grandes marques qui le mettent à l’abris du besoin. En effet, l’actuel président de la Fédération camerounaise de football a signé un contrat de partenariat avec la compagnie aérienne belge Brussels Airlines. Le montant de ce contrat n’est pas révélé au public mais la marque Eto’o est généralement évaluée en millions d’euros.
C’est d’ailleurs à 2 millions d’euros que l’ancien international camerounais est payé pour sa collaboration avec l’équipementier Puma. Le montant de cet accord a été révélé par le journaliste et lanceur d’alerte J. Remy Ngono.
La polémique
Après une riche et brillante carrière à travers le monde, Samuel Eto’o a amassé une petite fortune. Cela ne l’a toutefois pas empêché d’accepter les offres de la société de paris sportifs 1xbet. C’est d’ailleurs ce contrat qui est en partie la cause de ces problèmes actuels. Les textes de la Fifa interdisent aux acteurs du football, de contracter avec des sociétés de paris sportifs. Le montant du contrat signé avec 1xbet n’est pas révélé au public mais il doit certainement être consistant pour que Samuel Eto’o accepte de mettre dans la balance son honorabilité et son poste de président de la Fédération camerounaise de football.
En effet, la Confédération africaine de football (CAF) a ouvert une procédure disciplinaire contre le parton du foot au Cameroun. En plus de son contrat à polémique avec 1xbet, il est également suspecté de truquer des matchs en complicité avec ses amis présidents de clubs. Même si Eto’o nie les faits, il reconnait sa voix dans la bande audio à polémique qui a fait le tour des réseaux sociaux il y a quelques mois. On entendait le président de la Fecafoot et Victoria United évoquer le sort des clubs.
