Aboubakar Vincent, connu pour sa sincérité et son franc-parler, a fait part de ses réflexions sur l'affaire André Onana. Martin Camus MIMB estime que le problème est plus complexe que ce qui est véhiculé par les médias et l'opinion publique. S'il s'abstient de donner plus de détails sur la question, il souligne que les médias sociaux ne sont pas la plateforme appropriée pour résoudre de tels problèmes. Il invite toutes les personnes impliquées à comprendre leur place et leurs responsabilités. Aboubakar se demande également pourquoi les coéquipiers d'Onana l'ont laissé quitter l'équipe sans dire un mot pendant la Coupe du monde, suggérant qu'il pourrait y avoir des détails non divulgués. Malgré cela, Aboubakar affirme qu'Onana devrait revenir dans l'équipe nationale parce qu'il est le meilleur à son poste. Martin Camus MIMB conclut en exprimant sa conviction que l'individu le plus fort peut mettre fin aux conflits et envoie ses bénédictions
ABOUBAKAR VINCENT AU SUJET DE ONANA
On peut soupçonner Aboubakar Vincent de tout, sauf d’être un joueur qui parle pour plaire. il est d’une sincérité parfois naïve qui choque très souvent. Il a dit ce qui est publiquement autorisé, et il a beaucoup dit. À demi-mots, il donne une piste de règlement de ce problème. Et je continue de dire que le problème de ONANA est beaucoup plus complexe que la version entretenue dans les médias et l’opinion. Je peux développer encore, mais je pense que les réseaux sociaux ne sont pas le terrain de règlement de ce problème. Chacun doit connaître sa place et ses responsabilités. Point final. Merci Abou!
Tant qu’on cherche à régler un problème pour donner absolument tort à l’un et absolument raison à l’autre , on ne règle rien du tout. Et je vous avais publiquement posé une question pendant la Coupe du monde et chacun l’a esquivé : Pourquoi les coéquipiers de André ONANA l’ont laissé partir du groupe sans mot dire? Cela ne peut pas que se limiter à la peur d’être sanctionné. Ils avaient des détails qui ne sont jamais arrivés à la presse, et Abou n’en donne que des bribes. Il doit revenir parce qu’ils est le meilleur à son poste. Et comme je le dis souvent, c’est le plus fort qui met toujours fin à la guerre. Quand on est donc fort, on détient soi-même les clés de sa rédemption. Que Dieu vous bénisse !