Le moins que l’on puisse dire c’est que Jean-Michel Nintcheu, Boris Bertolt et leurs suppôts embusqués dans les hautes sphères de l’Etat sont aujourd’hui plongés dans un délire paranoïaque. Dans une tribune intitulée «Le ministre de l’Economie s’oppose au projet de Ferdinand Ngoh Ngoh de construire 4 nouveaux aéroports au Cameroun pour un budget de 1000 milliards Fcfa», un activiste bien connu pour ses positions anti-républicaines, Boris Bertolt, puis qu’il s’agit de lui, se lance dans une de ses démonstrations alambiquées dont il a seul le secret, pour offrir le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République en holocauste. Il n’est pas seul à la manœuvre. A la remorque, un certain Jean-Michel Nintcheu et de petits scribouillards auxquels la simple évocation de Ngoh Ngoh, filent des boutons en même temps qu’elle file la chiasse à leurs commanditaires drapés dans les dorures des hautes strates de la République. Décidément, les vérités assénées par le représentant personnel du chef de l’Etat lors de la cérémonie de décoration des experts des Tasks forces Can et Covid-19, a littéralement assommé ses détracteurs. Des vérités froides et puissantes qui ont visiblement poussé les contempteurs des Task forces et singulièrement ceux du mamelouk Ferdinand Ngoh Ngoh à entrer en transe. Désormais aux abois, ils s’agitent et mobilisent la presse à gages, qu’elle soit écrite ou audiovisuelle. Les plateformes numériques ne sont pas en reste. Tout est mis en œuvre et d’importants moyens financiers sont mobilisés, malheureusement sur le dos du contribuable pour payer des tontons flingueurs. Objectif ? Attaquer le Sgpr, le vilipender, ternir sa réputation, saboter son travail. Son seul crime, être entièrement et totalement dévoué au président Paul Biya pour qui, il est devenu au fil des années la vigie, face aux prévaricateurs de la fortune publique et aux injustices de toutes sortes. Désormais ça tire à balles réelles. Tout y passe : obus, flèches empoisonnées, cailloux, boules puantes, pour tenter de renverser une opinion qui connaît désormais la vérité. Trop tard, la vérité est désormais sue de tous. Les rapports de la Chambre des comptes de la Cour suprême sont disponibles ainsi que les procès-verbaux des réunions de la Task force Covid-19 et les décomptes de la Task force Can, etc…
Le moins que l’on puisse dire c’est que Jean-Michel Nintcheu, Boris Bertolt et leurs suppôts embusqués dans les hautes sphères de l’Etat sont aujourd’hui plongés dans un délire paranoïaque. Dans une tribune intitulée «Le ministre de l’Economie s’oppose au projet de Ferdinand Ngoh Ngoh de construire 4 nouveaux aéroports au Cameroun pour un budget de 1000 milliards Fcfa», un activiste bien connu pour ses positions anti-républicaines, Boris Bertolt, puis qu’il s’agit de lui, se lance dans une de ses démonstrations alambiquées dont il a seul le secret, pour offrir le ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République en holocauste. Il n’est pas seul à la manœuvre. A la remorque, un certain Jean-Michel Nintcheu et de petits scribouillards auxquels la simple évocation de Ngoh Ngoh, filent des boutons en même temps qu’elle file la chiasse à leurs commanditaires drapés dans les dorures des hautes strates de la République. Décidément, les vérités assénées par le représentant personnel du chef de l’Etat lors de la cérémonie de décoration des experts des Tasks forces Can et Covid-19, a littéralement assommé ses détracteurs. Des vérités froides et puissantes qui ont visiblement poussé les contempteurs des Task forces et singulièrement ceux du mamelouk Ferdinand Ngoh Ngoh à entrer en transe. Désormais aux abois, ils s’agitent et mobilisent la presse à gages, qu’elle soit écrite ou audiovisuelle. Les plateformes numériques ne sont pas en reste. Tout est mis en œuvre et d’importants moyens financiers sont mobilisés, malheureusement sur le dos du contribuable pour payer des tontons flingueurs. Objectif ? Attaquer le Sgpr, le vilipender, ternir sa réputation, saboter son travail. Son seul crime, être entièrement et totalement dévoué au président Paul Biya pour qui, il est devenu au fil des années la vigie, face aux prévaricateurs de la fortune publique et aux injustices de toutes sortes. Désormais ça tire à balles réelles. Tout y passe : obus, flèches empoisonnées, cailloux, boules puantes, pour tenter de renverser une opinion qui connaît désormais la vérité. Trop tard, la vérité est désormais sue de tous. Les rapports de la Chambre des comptes de la Cour suprême sont disponibles ainsi que les procès-verbaux des réunions de la Task force Covid-19 et les décomptes de la Task force Can, etc… Les aéroports parlons-en. Il y a plusieurs mois déjà, Ngoh Ngoh a transmis aux chefs des départements ministériels concernés et compétents, les très hautes instructions du président Paul Biya, lequel a instruit de tout mettre en œuvre pour que toutes les capitales régionales soient reliées à la capitale politique par des vols commerciaux. D’où la nécessité de réhabiliter, tout en les modernisant, des plateformes aéroportuaires existantes mais à l’arrêt dans certaines régions, ou d’en construire dans des régions qui n’en disposent pas. Bertoua, Tiko, Ebolowa et Kribi ont été choisies dans un premier temps pour des raisons évidentes. Quel crime Ngoh Ngoh a donc commis ? Les populations de ces régions-là n’ont t’elles pas le droit de voyager en avion ? Que cherchent même ces ennemis de Ngoh Ngoh qui finalement, selon certains observateurs avisés, semblent se confondre avec les ennemis de la République et être des freins à l’émergence du Cameroun ? La ficelle est bien trop grosse. Toutes les tentatives de manipulation de l’opinion sont vouées à l’échec. Rien ne réussira à distraire le président Paul Biya et les Camerounais de bonne foi.