Révélation choc : les ambassadeurs du Cameroun en France impliqués dans un trafic d'enfants camerounais en France

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Wed, 9 Apr 2025 Source: www.camerounweb.com

Le cas d’une enfant de 10 ans séquestrée dans une association française relance une enquête glaçante : depuis des années, des enfants camerounais seraient « transférés » illégalement avec la complicité des diplomates en poste à Paris. Des parents brisés, des documents signés en secret… Un système qui profiterait à des réseaux obscurs, sous le regard passif des autorités.



RÉVÉLATION CHOC : LES AMBASSADEURS DU CAMEROUN EN FRANCE IMPLIQUÉS DANS UN TRAFIC D'ENFANTS CAMEROUNAIS EN FRANCE.

L'affaire de Norelisse, une enfant de 10 ans séquestrée au sein d'une association juive dénommée « Œuvre au secours des enfants », depuis 1 an, met en lumière l'existence d'un réseau de tr@fic d'enfants dans lequel tous les ambassadeurs que le Cameroun a déjà eus en France seraient impliqués.

En 2015, un couple formé d'un Camerounais et d'une Malienne se vit séparé de leurs deux filles camerounaises, âgées de 1 et 3 ans, par l'Aide sociale à l'enfance. Ce qui semblait être un cauchemar administratif devint un dr@me humain.

Dès qu'ils commencèrent à réclamer leurs enfants, ils furent placés en centre de rétention administrative pour être expulsés sans leurs deux filles.

Pour exécuter une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF), la France doit passer par les ambassades des pays d'origine des personnes concernées.

Et c'est là que les choses se compliquent. Lejeune Mbella Mbella, alors ambassadeur du Cameroun, apposa sa signature sur le document officialisant le rapatriement du père vers son pays natal, en parfaite connaissance du sort tr@gique réservé aux deux fillettes, séparées de leurs parents par l'Aide sociale à l'enfance.

Le retour au Cameroun fut dévastateur. Rapatrié, le père perdit complètement la raison, broyé par la douleur de la séparation. Aujourd'hui, sa famille, rongée par l’injustice, se prépare à briser le silence et à livrer une déclaration accablante sur cette affaire.

Parallèlement, le consulat du Mali s'opposa fermement à la demande des autorités françaises concernant la mère, refusant de faciliter son expulsion sans la restitution préalable de ses enfants. Depuis 2015, la mère vit en France, sans avoir reçu la moindre nouvelle de ses deux filles, ni photo, ni message. L’Aide sociale à l’enfance, soutenue par la justice française, refuse de lui accorder la moindre visite.

Le cas du couple camerounais n'est malheureusement pas isolé. Après Lejeune Mbella Mbella, tous les ambassadeurs camerounais ont suivi la même pratique. D'après certaines sources, des agents de l'Aide sociale à l'enfance se rendent régulièrement à l'ambassade du Cameroun en France pour établir, au nom des enfants placés, des documents comme des passeports, des pièces d’identité etc. Mais voici la partie la plus sombre de l’histoire : ces démarches se font sans que les parents des enfants soient informés.

Vous vous êtes toujours demandé comment l’Aide sociale à l'enfance parvient à faire franchir les frontières à des enfants camerounais placés ? La réponse est simple : ce sont vos diplomates qui, sans scrupule, fournissent les documents nécessaires pour permettre ce trafic d’enfants.

Source: www.camerounweb.com