Révélations de Jeune Afrique : Brenda Biya, de la jet-set au rap et à la mode

Brenda Biya, fille unique du président camerounais Paul Biya, a récemment fait une incursion dans l’industrie musicale sous le nom de scène « King Nasty ». Son premier single, « Bad Bitch Anthem », réalisé en collaboration avec l’une de ses meilleures amies, Jojo, a été publié sur les plateformes le 28 décembre 2023 et a immédiatement attiré l’attention des internautes. Le choix du hip-hop témoigne d’une certaine connexion avec la jeunesse urbaine. Brenda Biya rêve de remporter un Grammy Award, la plus haute récompense américaine dans l’univers de la musique. Une aspiration audacieuse, mais pas forcément hors de portée. En 2016, elle avait déjà créé la surprise en apparaissant dans un clip rap de Dex Willy et Blacky, revendiquant la liberté.

Selon Jeune Afrique, Brenda Biya incarne un style à la fois décontracté et « swag » avec son piercing au nez, ses cheveux souvent teints de couleurs vives, ses bijoux de luxe, ses longues perruques, ses lunettes à la mode et ses nombreux tatouages. Adepte des réseaux sociaux, elle navigue avec aisance sur ces plateformes et s’est fait un nom dans la jet-set. Elle partage régulièrement sur ses différents comptes sociaux des clichés pris lors de virées nocturnes dans les night-clubs, particulièrement à New York, sa ville préférée.

En plus de sa carrière musicale naissante, Brenda Biya s’est récemment lancée dans le mannequinat. En janvier, elle a fait ses débuts sur le podium lors de la très prestigieuse Semaine de la Mode de Paris (Paris Fashion Week) où elle a eu l’occasion de partager la scène avec des célébrités comme Tayc et Chris Brown. Cette nouvelle corde à son arc vient s’ajouter à ses activités d’entrepreneure et d’influenceuse sur les réseaux sociaux.