Dans cette interview exclusive accordée à votre journal, non seulement Georges Gilbert Baongla rompt un long silence, mais il dévoile enfin son vrai visage. Celui d'héritier du président de la République Paul Biya qu'il défend bec et ongle et qu'il entend désormais accompagner dans sa politique des Grandes réalisations à travers une nouvelle structure à vocation internationale. Georges Gilbert Baongla, fils aîné du président Paul Biya (?), entend également s'intéresser désormais à la politique.
Pdg ou Groupe Le Démenti, Georges Gilbert Baongla est connu dans les milieux de la presse comme quelqu'un qui n'a pas sa langue dans la poche. Mais depuis que sa radio est fermée, l'homme semble faire plutôt profil bas. Et pourtant, le Pdg a choisi une nouvelle voie pour se mettre au service de son pays qu'il aime bien. Dans cette interview exclusive accordée à votre journal, non seulement il rompt un long silence, mais il dévoile enfin son vrai visage. Celui d'héritier du président de la République Paul Biya qu'il défend bec et ongle et qu'il entend désormais accompagner dans sa politique des Grandes réalisations à travers une nouvelle structure à vocation internationale. Georges Gilbert Baongla, fils aîné du président Paul Biya (?), entend également s'intéresser désormais à la politique. Lisez plutôt.
Georges Gilbert Baongla, on n'a pas de vos nouvelles depuis quelques temps. Où êtes-vous passé?
Je ne suis pas porté disparu. Sauf que je suis très pris. Je suis promoteur d'une structure qui fait dans le financement des grands travaux, des projets... J'ai donc estimé que je devais beaucoup plus m'occuper de cette structure avec laquelle je travaille depuis près de 20 ans. Aujourd'hui, le Cameroun bénéficiera du fait que c'est moi qui m'occupe de la zone Afrique. Cette entreprise justement est un consortium créé entre 2 groupes dont le Groupe Le Démenti qui ont donné l'International Coopération for Development and Progress (Gdenwi). Nous sommes spécialisés en matière de financement de projets. Nous prestons dans le domaine de l'habitat social, éducatif, formation, scientifique. A titre d'illustration, on a travaillé du côté de la Guinée, du Nigéria, du Ghana, de l'Angleterre. Disons que c'est une structure qui a bien accepté mon expertise depuis 20 ans. Nous avons encore un grand chantier puisque nous avons axé 80% de notre travail sur le Cameroun. A ce titre, nous avons pris le temps de nous faire connaître par les autorités camerounaises. Parce que nous respectons les lois et les institutions et aujourd'hui Gdenwi est implanté au Cameroun.
Est-ce à dire que la presse et vous c'est une histoire passée?
C'est un chantier qui n'est pas clos, mais un chantier qui est dans mon passé. Je sais donner la chance aux plus jeunes, d'où l'opportunité de vous confirmer que la presse pour moi a fait son temps. Je suis sûr que j'ai beaucoup construit dans ce chantier. Maintenant, j'ai autour de moi des enfants qui ont même des entreprises en communication que je préfère taire les noms.
J'essaye parfois d'aller à la retraite, mais mon expertise est toujours sollicitée, ce qui veut dire qu'à tout moment, je peux donner un point de vue. Nous sommes en train d'émettre un nouveau flanc en ce qui concerne la communication. Je passe le bâton de commandement à une autre personne et dans bientôt, nous allons donner un nouvel organigramme avec la nouvelle configuration à travers cette entité qu'on appelle le Groupe Le Démenti, mais qui fusionne aujourd'hui à l'International. Il y a néanmoins un droit de regard au niveau du Conseil d'administration.
Avec ce background et l'expertise que vous présentez, permettez à nos lecteurs de cerner davantage qui est véritablement Georges Gilbert Baongla?
Je voulais parler avec mon CV. Je ne veux pas occulter ma personne. D'abord je suis né d'une maman originaire de la Sanaga Maritime et mon père s'appelle Monsieur Paul Biya. Vous dites... Je dis mon père s'appelle Monsieur Paul Biya parce qu'il vit encore et ma mère est morte le 17 juillet 2001 et à cet effet, j'ai pensé qu'à un moment, que je puisse être dans le cours de l'Histoire. J'ai donné mon apport, j'ai travaillé pour ce pays, j'ai été témoin à charge ou à décharge dans l'histoire de la presse.
Maintenant, quand vous dites M. Baongla est qui, il faut que mon Cv soit aussi décliné. Il paraît que quand on n'a pas de Cv dans ce pays... mais moi j'en ai un de consistant. Quelques lignes pour nos lecteurs... (Il appelle sa secrétaire pour lui imprimer son CV). Mais oui, un Bac C très solide du côté de Vogt, j'ai des diplômes qui me permettent aujourd'hui de faire onction dans le domaine politique. Je ne voulais pas parler sans toutefois vous apporter les preuves, comme on m'appelle souvent Monsieur preuves. Qu'à cela ne tienne, cela me permet aujourd'hui de vous dire que j'ai un autre chantier que j'explore et ce chantier n'est autre que la politique.
Le Cv est là, mais on voudrait savoir comment est-ce que le titulaire du Bac C arrive dans la presse?
Je vais vous dire qu'avec un Bac C, à l'époque, on bénéficiait des stages. J'ai commencé mon premier stage en matière de communication au centre des Nations Unies et après j'ai été coopté dans une Ong qui travaille sous les auspices des Nations Unies. Cela m'a permis d'aimer la communication. Le Bac C pour moi était un défi parce que je voulais être mathématicien ou pilote. Je l'ai fait par défi et avec mention «Très bien». Ceci m'a permis d'aller du côte de l'Europe pour continuer mes études. Alors comme j'étais un peu audacieux, j'ai commencé à penser politique.
Ma grand-mère maternelle, feue Ngo Mbock Esther était liée à l'époque aux affaires politiques. Je me suis procuré beaucoup de documents. J'ai obtenu une licence en science politique en 1982, une licence en sociologie la même année, une maîtrise en sociologie à l'université de Liège en Belgique en 1983 et puis je suis diplômé de l'Ecole pratique des hautes études des séries sciences politiques en 83 et puis un doctorat en science politique avec mention «Très bien». A la suite de ces études, j'ai été promoteur d'un groupe, j'ai travaillé dans les entreprises de communication, de projets et j'ai une formation en gestion d'entreprise à Oxford. Je suis promoteur du Groupe Le Démenti. J'ai assumé des fonctions diversifiées.
En réalité vous arrivez dans la presse pour assouvir votre passion pour la politique?
J'arrive dans la presse parce que je suis passionné pour la communication. J'aime communiquer.
La fermeture de votre radio est-elle un mauvais souvenir après 30 ans dans la presse?
Pas du tout. C'est un bon souvenir pour moi, la fermeture de la radio Le Démenti. C'est l'unique même qui a été fermée pendant 30 ans au Cameroun. L'histoire retiendra que pendant la démocratie et avant le Renouveau, c'est la seule radio qui a été bâclée, parce que quand on dit «fermée», ça voudrait dire qu'il y avait autorité pour le faire. C'est pour cela que je n'ai pas préféré ester, mais faire prestation en justice contre le ministère de la Communication. Mais j'y tiens absolument parce qu'aujourd'hui, on ne fermera plus jamais de radio au Cameroun. Pour moi, c'est un combat déjà gagné.
Radio Le Démenti fermait le 5 octobre 2009 et nous sommes en février 2012, quelles sont les démarches véritables que vous avez entreprises?
Je n'aime pas faire les courbettes quand je suis dans mon bon droit. Je suis le seul qui ai pu attaquer le ministère de la Communication en justice. C'est la seule radio qui est passée sous l'insigne d'une bonne démocratie sous l'ère Biya du côté de l'Assemblée nationale. J'attendais que la presse puisse faire écho mais, j'ai attendu vainement.
J'avais la nostalgie de savoir que je participe pour la liberté d'expression au strict respect des normes de notre société. Donc c'est le seul dossier qui est passé en commission, je suis le seul promoteur qui a dit non, il faut aller en justice même si les lois sont potines en ce qui concerne la liberté de la communication, la loi de 90, j'ai dit je vais y aller ceci devait être un cas d'école. Je reste dans la ferme conviction que je finirais par gagner ce procès, donc je n'ai pas peur et je reste dans ma logique.
A un moment, vous avez parlé d'un complot. Pouvez-vous aujourd'hui désigner les auteurs de ce complot?
Là, vous me donnez l'occasion de parler. Je voudrais vous dire que celui qui est venu fermer cette radio est mort. Il s'agit d'Abah Ndzengué. Pour moi, ce n'est pas une joie que je ressens. Toute histoire a un début et une fin. On a fermé la radio parce qu'on voulait atteindre une personnalité. Vous savez qui on voulait atteindre dans cette histoire?
Dites nous. ..
C'est Monsieur Biya, ce n'est pas moi. Votre père? Oui. Me faire taire est logique parce que faire taire Baongla, c'est pouvoir occulter la bonne information pour que les gens puissent installer leurs médias à eux, leurs façons. C'est vrai qu'il y a certains médias comme le vôtre qui échappent. Alors ils se disaient pourquoi Baongla tient tant à vouloir étayer les vérités autour du Renouveau? Pourquoi il tient tant à défendre le président de la République et ses arrières. La preuve en est que le ministre de la Communication Issa Tchiroma a dit que je défendais un peu trop le chef de l'Etat et titillais un peu plus ses collaborateurs.
Jusqu'aujourd'hui je continue à attendre les preuves mais comme je ne peux plus faire dans la presse. Maintenant en ce qui concerne les complicités, je peux aujourd'hui les étayer en disant que, quand un officier de police judiciaire ou quelqu'un qui maîtrise la loi, viole la loi, parce qu'on veut utiliser une logique pour dire nous allons le faire taire, ça veut dire qu'il y a un problème. A l'époque où le feu lieutenant colonel - paix à son âme Abah Ndzengue, officier de la gendarmerie en son temps avait décidé de fermer, il m'avait laissé entendre qu'on l'avait instruit, il ne m'avait jamais notifié de l'objet ou de la saisine de la fermeture. Mais, j'ai été très surpris qu'il mettait en application une «loi» peut-être ce qu'on appelle leur cahier de charge or au Cameroun, les lois sont publiées et connues. Pourquoi est-ce que les gens vont à l'encontre de ces lois ?
II m'a dit va voir le ministre, je lui ai dit que je n'avais rien à faire avec le ministre. Voilà le premier aspect. Je prends à témoin l'ex-secrétaire général Laurent Antoine Medjo Mimtom. En son temps, nous avons échangé. Je prends à témoin M. Tobbie Hond, mais notre tripartite n'a pas porté de fruit auprès du ministre qui apparemment avait un autre problème. Mais ce qui m'avait étonné, c'est que le ministre ne m'avait jamais dit pourquoi il fermait la radio. Il osera me dire que l'ordre vient d'en haut. Je lui ai posé la question de savoir qui lui a ordonné et s'il avait une recommandation? Il ne savait pas qu'en face, il avait le fils aîné de Paul Biya ou encore quelqu'un qui connaissait tout le mécanisme administratif et politique. Et c'est çà le bon jeu. Et je devais mener ce jeu jusqu'aujourd'hui. Le jour où Issa Tchiroma décide de fermer la radio sous l'impulsion d'un certain nombre de personnalités qui se sont plaintes de beaucoup de choses.
Je voudrais par là dire, si un certain Atangana Mebara se plaint et que j'avais décrié son comportement infeste par rapport à sa gestion du patrimoine public; si Olanguena Awono en son temps j'avais décrié à travers les antennes de cette radio avant qu'il ne soit interpellé qu'il avait des appétits financiers très poussés; je suis le premier à avoir pris la lourde responsabilité de dire qu'Yves Michel Fotso avait patiné sur l'argent public à travers l'Albatros parce que j'ai eu l'occasion de le rencontrer dans d'autres sphères comme à la Camair où j'ai eu à m'entretenir avec lui et j'ai trouvé que mes échanges étaient infructueux parce que j'avais en face de moi, un enfant qui occupait une entité publique mais qui obéissait aux règles privées. J'ai dénoncé un grand nombre de responsables. Aujourd'hui le temps me donne raison. Lequel des responsables dont j'ai donné le nom n'est pas aujourd'hui aux arrêts?
Même ceux qui sont sur le paillasson d'attente savent que j'ai dit des choses vérifiées par le premier magistrat, les services compétents du renseignement. Quand je criais, je disais que le fils Fotso a détourné, les gens estimaient que c'était trop osé. Je réclame cette reconnaissance au peuple camerounais. Je me suis fait taper sur les doigts avec l'affaire Abah Abah. Parce que j'avais dit en son temps devant un juge qu'aujourd'hui je suis traîné pour diffamation et pourtant c'est vous qui allez écrouer cet Abah Abbah. J'ai affronté 9 avocats. Le temps m'a donné raison.
Et si aujourd'hui la radio a été fermée parce que je parlais des gens qui sont aujourd'hui effectivement des présumés coupables, ça voudrait dire que je n'ai pas fait un mauvais boulot et pour être un bon fils de Paul Biya, il faut être un homme posé qui a beaucoup de tact qui ne fait pas beaucoup de bruits. Et c'est de cette éducation que j'ai bénéficiée de lui. C'est un homme qui parle très peu, qui écoute et qui décide au bon moment.
Vos détracteurs vous diront que vous avez trop bavardé à un certain moment?
J'ai bavardé parce que les gens voulaient plutôt que je sois l'auréole d'une petite famille d'arnaque au sein de la famille de la presse. Je ne peux pas accepter qu'on dévalise les caisses publiques parce que c'est un ami.
A cet effet vous vous êtes fait beaucoup d'ennemis? Je me suis fait beaucoup d'amis.
Des amis? Beaucoup d'amis. Le débat que j'ai ramené sur la place publique est aujourd'hui continu. Je suis content d'entendre quelqu'un dire que tel ministre a distrait de l'argent. J'étais le premier à le dire. Presque l'unique.
Aujourd'hui vous pouvez quand même vous reconnaître quelques amis? Pouvez-vous citer quelques noms?
Combien de personnes m'ont trainé au tribunal? Il y en a très peu. Ce qu'ils me reprochent c'est vrai, peut-être c'est un peu la manière. Quand quelqu'un a sa cagnotte cachée quelque part, il ne peut pas accepter qu'on vienne dire voilà ta cachette. Aujourd'hui, moi je pense à un Cameroun pour nos enfants.
Alors vous entamez un autre chantier pour le Cameroun avec Gdenwi. C’est quoi véritablement?
J'estime que la main qui nous a été tendue par le président de la République est de bon ton parce qu'il ne m'appartient pas aujourd'hui d'apporter le jugement, mais d'apporter plutôt un appui dans son programme politique en respectant d'abord mes obligations patriotiques pour qu'il y ait réussite. Moi ça me fera plaisir qu'on dise que son père (Paul Biya Ndlr) a bien travaillé, le patron de presse d'hier est aujourd'hui bâtisseur des grandes réalisations de son père de demain. J'ai commencé à le faire depuis longtemps quand j'ai décrié la corruption. C'était à l'interpellation du président de la République. Et je me suis mis au travail. Je donne ma contribution. Tout simplement.
Vos ennemis de la presse d'hier ne risquent-ils pas de vous suivre dans ce chantier pour vous mettre les bâtons dans les roues?
C'est très simple. J'ai commencé dans ce chantier dans la presse. Maintenant je suis dans un contexte d'assistance et de réalisations. Ceux qui vont tirer sur moi, qu'ils apportent les preuves que moi j'apportais. Je ne suis pas fonctionnaire, je n'occupe pas un poste ministériel. Pas parce que je n'ai pas le profil. Mais le problème c'est que je n'ai pas commencé les grandes réalisations maintenant. Les grandes réalisations pour moi ont commencé depuis le premier jour où le président Paul Biya a été investi président de la République. Dans la continuité, je ne peux que être très à l'aise.
Au regard de cette révélation que vous venez de faire, pensez-vous être à la hauteur de votre nouveau statut?
Je me suis fait insulter dans ce pays, les gens ont dit des choses sur moi. Je n'étais pas à l'école, je n'ai pas de papa... Moi ça fait rigoler parce que vous ne connaissez pas quelqu'un, mais vous estimez que vous le connaissez mieux. Alors, ce sont les même gens qui m'insultaient hier qui s'excusent aujourd'hui. Mon problème n'est pas être fils d'un chef d'Etat. Mon problème c'est ce que j'apporte pour mon pays.
Moi c'est cette éducation que j'ai eue. Je n'ai jamais été interpellé pour vol. Je tenais simplement à vous dire que j'ai eu une éducation de part ma mère. J'ai une éducation de par mère adoptive, Jeanne Irène Biya. J'ai eu une éducation à travers mon père qui est là et qui vit. Je vais vous faire une révélation. Lors d'un de mes bobos, c'est-à-dire on m'a inquiété pour rien, il a appelé son ministre de la Justice, à l'époque c'était le ministre Amadou Ali pour lui demander de quoi il s'agissait. Mais vous pensez que si c'était ce père qui ne voulait pas que je sois bien élevé, il ne serait pas entrain d'accepter que ma radio soit fermée ou que je puisse répondre d'une convocation.
On le connaît légaliste...
C'est un légaliste bien sûr et c'est dans ce sens là que je vais dans la légalité. Je continue à dire que la presse est ma plus grande famille. Je suis vraiment très flatté, mais c'est le champ politique qui m'intéresse maintenant.
Georges Gilbert Baongla prochain maire, député de la Nation, est-ce cela vos nouvelles ambitions?
Mes ambitions sont légitimes. Pour le moment, quand mon père me donnera l'autorisation, j'ai beaucoup du respect pour lui, je vais en parler. Il est pour moi comme un dictionnaire. Si lui-même dit, tu as l'onction, il verra que j'ai déjà fait des pas. En face et n'en déplaise, que les gens ne se disent pas que le président de la République n'a pas d'héritier, je suis d'abord héritier biologique. Maintenant, j’ai une paternité professionnelle ça veut dire que de part mon père, le président de la République, qui est pour moi une entité forte. Je ne parle pas parce que c'est mon père mais parce que j'ai d'autres choses. Est-ce que vous savez qu'il y a des gens qui n'ont jamais été face à la justice mais dans notre famille quand vous posez un acte, on vous met face à votre responsabilité. J'interpelle ces petits malins, de faux cousins, ça je peux vous dire, les amis de famille, de faire attention, parce ce n'est plus la cour du roi Peteau. Si tu es un fils biologique, tu es un fils biologique. Si tu es fils adoptif, tu le restes. Si tu es cousin, tu es cousin.
Si tu es ami de la famille, tu le demeures. Il va falloir que chacun se mette à sa place. Je voudrais aussi dire aux petits malins qui veulent grignoter autour pour créer la déstabilisation au sein de notre famille qu'ils sachent que moi je n'aime pas du tout ça et que je ne tarderais pas à faire le rappel à l'ordre à quiconque reniflera mal au coin. Moi j'appelle ce septennat, celui de l'assainissement moral, du défi et de la construction. Avec l'onction du président de la République, nous allons suivre ses pas. Et notre regard ragaillardi, c'est d'arriver avec des objectifs bien établis qui soient bénéfiques à tout le peuple camerounais.