Tous les chefs d’États sont rentrés chez eux pour travailler depuis la fin de l’assemblée générale de l’ONU le 23 septembre 2017. Mais comme d' habitude, Paul Biya, a pris ses quartiers avec une délégation d'une cinquantaine de personnes, à l'hôtel Intercontinental de Genève.
L’ONU, les États-Unis, les Évêques, les ONG ont beau lui demander de rentrer chez lui pour régler la crise anglophone, Paul BIYA MOBUTU continue à dilapider les fonds publics d'un pays qui mendie des crédits auprès du FMI pour survivre.
35 ans de gabegie, de gâchis. Après avoir été dénoncé par les médias français, Paul Biya a fui la France pour aller se réfugier en Suisse où il est logé, nourrit avec sa femme, ses enfants, ses amis, ses majordomes, aux frais du contribuable camerounais durant cinq mois minimum par an.