Dans un revirement surprenant, l’universitaire Chuo Walter a récemment admis avoir joué un rôle médiatique dans l'affaire Martinez Zogo, où il a manipulé l'opinion publique. Il a humblement demandé pardon pour ses actions.
Chuo Walter a révélé qu'il avait été dirigé pour créer de fausses pistes, laissant entendre que ses apparitions sur Vision 4, une chaîne de télévision appartenant à Amougou Belinga, le principal suspect de l'assassinat, étaient orchestrées pour détourner l'attention et induire le public en erreur.
Cette admission a eu lieu lors d'une interview dimanche, animée par Serge Aimé Bikoi dans l'émission radio #Zappresse, diffusée sur Radio Siantou à Yaoundé.
La confession de Chuo Walter soulève des questions importantes sur l'influence médiatique et la manipulation dans les affaires de grande envergure. Elle met en lumière le pouvoir que les médias peuvent exercer en façonnant la perception du public et en influençant les récits. La reconnaissance de son rôle par Chuo Walter rappelle la nécessité d'un journalisme responsable et d'un reportage éthique, en particulier dans les cas impliquant des questions légales et le sentiment public.
L'affaire Martinez Zogo a captivé l'attention nationale, et cette admission ajoute un nouvel élément aux discussions en cours autour de l'enquête. Le public cherchera probablement des clarifications et une compréhension plus approfondie de la part de Chuo Walter concernant ses motivations et les circonstances qui l'ont amené à participer à de telles actions manipulatrices.