Denis Nkwebo qualifie la presse camerounaise d’une qui soit clientéliste et esclavagiste
• La presse camerounaise serait vendue aux lobbies
• C’est ce qu’affirme Denis Nkwebo
• Ça mérite que l’on s’y attarde quelque peu
Denis Nkwebo, le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun (SNJC) qualifie la presse camerounaise d’une qui soit clientéliste et esclavagiste et par conséquent, ne peut pas être au service de la vérité.
Denis Nkwebo a fait une sortie en rapport avec la presse de notre pays sur son compte Twitter. Il affirme que les journaux mettent en vente les Unes de leurs journaux. Soulignons que la Une du journal est la page la plus importante étant donnée qu’elle est sa vitrine. D’après le président du SNJC, c’est aux pouvoirs de l’argent et aux lobbies que sont vendues les Unes des journaux.
« 97% des UNES des journaux camerounais sont vendues aux pouvoirs de l’argent et aux lobbies », a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Le président du Syndicat national des journalistes du Cameroun (SNJC) affirmant que la presse camerounaise est devenue clientéliste et esclavagiste, indique qu’elle ne peut plus de ce fait, être au service de la vérité.
« Une presse clientéliste et esclavagiste ne peut pas servir la vérité », a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Cameroun : le siège d’un important Journal cambriolé après une publication concernant Amougou Belinga
La presse libre camerounaise est toujours dans l’œil du cyclone. Si ce ne sont pas des arrestations arbitraires de journalistes, ce sont des menaces directes ou indirectes. Ces méthodes d’intimidations prennent des proportions assez inquiétantes. Un grand journal privé de de la place a été visité par de curieux cambrioleurs dans la nuit de ce mercredi à jeudi. Il s’agit du journal Le Messager. Ce cambriolage intervient juste après une publication sur Parfait Ayissi, ancien directeur général de Vision 4 qui vole au secours de son ex-patron. Simple coïncidence ?
« Bonjour. La rédaction centrale du Messager a été cambriolée cette nuit pas des hors la loi qui ont emporté l'ordinateur du rédacteur en chef et celui du monteur. Avant de prendre le large, ces criminels ont passé toute la salle de rédaction au peigne fin. Ils seraient passés par une ouverture située juste derrière le bâtiment », c’est à travers ce message que la rédaction de Camerounweb a appris avec désolation, ce qui est arrivé au Confrère le Messager.
Sans toutefois faire un lien direct entre ces deux évènements, il est tout de même utile de rappeler que ce curieux cambriolage est intervenu juste après la publication de la couverture du journal qui met en Manchette Parfait Ayissi.
Est-ce un coup des détracteur d’Amougou Belinga ou de ses éléments, ou carrément des cambrioleurs isolés ? Toutes ces pistes sont à explorer pour les enquêteurs. Soulignons que le siège du journal se trouve à Douala notamment à Akwa.
