Le rejet des candidatures de Samuel Eto’o et Seidou Mbombo Njoya au comité exécutif de la CAF révèle une crise profonde au sein du football camerounais. Alors que le Cameroun aurait pu briller sur la scène continentale, c’est l’égo démesuré d’un homme, Samuel Eto’o, qui a plongé le pays dans l’embarras. Entre accusations éthiques, manœuvres mesquines et divisions internes, cette affaire expose les dysfonctionnements d’une gestion marquée par la vengeance et l’arrogance. Jusqu’où ira cette dérive, au détriment de l’unité et de la réputation d’une nation autrefois respectée ? Il est temps de tirer la sonnette d’alarme.
Rejet des candidatures de Samuel Eto’o et Seidou Mbombo Njoya à la CAF : Quand l’égo d’un homme devient le poison d’une nation
Le Cameroun vient encore de s’illustrer de la pire des manières. Les candidatures de Samuel Eto’o et Seidou Mbombo Njoya au comité exécutif de la CAF ont été rejetées. Non pas parce que le Cameroun manque de talents, de compétences ou de voix sur l’échiquier continental, mais parce qu’un homme, Samuel Eto’o, a décidé que son égo valait plus que l’honneur d’un peuple. Comme le disait le président Paul Biya : "La politique est un art. Elle requiert du tact, de la patience et surtout de l’humilité."
Samuel Eto’o : Quand l’arrogance devient un fardeau national
Samuel Eto’o semble avoir oublié que les fonctions qu’il occupe à la FECAFOOT ne sont pas un royaume personnel, mais un service au bénéfice de la nation. Comment comprendre qu’un homme qui devrait porter haut les couleurs du Cameroun soit aujourd’hui rejeté pour des raisons éthiques ? Des condamnations judiciaires en Espagne, des manquements éthiques pointés par la FIFA… des soupçons de favoritisme et de matchs truqués en faveur de OPOPO, Était-il crédible de postuler dans ces conditions ?
Ce qui choque, ce n’est pas qu’Eto’o soit disqualifié. Non, le scandale, c’est qu’il a entraîné tout un pays dans sa chute. Comme l’a si bien dit Nelson Mandela : "Le vrai leader ne se mesure pas à son pouvoir, mais à son impact sur ceux qu’il dirige." Eto’o, par son comportement, prouve qu’il dirige avec un égo surdimensionné et non avec un sens du devoir.
Seidou Mbombo Njoya : Le sacrifice d’un homme sur l’autel des rancunes
Quant à Seidou Mbombo Njoya, il aurait pu, lui, représenter dignement le Cameroun à la CAF. Mais c’était sans compter sur la mesquinerie de Samuel Eto’o, qui a refusé de lui accorder le mandat indispensable pour valider sa candidature. Cette manœuvre mesquine n’est rien d’autre qu’un sabotage prémédité. Paul Biya disait : "Un Camerounais doit rester solidaire de son frère, car ensemble, nous bâtissons la nation." Malheureusement, Eto’o a choisi la division.
Ce comportement met en lumière une gestion de la FECAFOOT qui repose davantage sur la vengeance et l’exclusion que sur la promotion des intérêts collectifs. Kwame Nkrumah disait : "L’Afrique souffre parce que certains préfèrent diviser pour régner au lieu de fédérer pour progresser." Eto’o incarne tristement cette mentalité.
Un égo destructeur : Jusqu’où ira Samuel Eto’o ?
Le Cameroun, autrefois une nation respectée dans le football africain, est aujourd’hui la risée de la CAF. Pourquoi ? Parce qu’un homme croit que tout tourne autour de lui. Au lieu de construire, Eto’o sabote. Au lieu de représenter dignement son pays, il accumule les scandales et alourdit la réputation déjà fragile de notre nation sur la scène internationale.
En refusant à Seidou Mbombo Njoya une chance légitime de briguer un poste à la CAF, Eto’o montre une chose : il ne dirige pas une fédération, il orchestre une vendetta personnelle. Patrice Lumumba disait : "Un homme d’État ne se mesure pas à la somme de ses ennemis, mais à sa capacité à rassembler pour le bien commun." Samuel Eto’o ferait bien de méditer cette leçon.
Un Cameroun perdant à tous les niveaux
Ce rejet collectif n’est pas seulement un coup dur pour les deux hommes. Il s’agit d’une perte monumentale pour le Cameroun. Alors que d’autres nations africaines se battent pour placer leurs représentants dans les instances de décision, nous sommes occupés à régler des comptes. Et tout cela à cause de l’égo d’un seul homme. Comme le disait Thomas Sankara : "La réussite d’un peuple repose sur l’unité et le travail collectif, pas sur les caprices d’un seul individu."
L’heure de la révolte
Le Cameroun ne peut plus se permettre de sombrer à cause des caprices d’un seul homme. Paul Biya disait : "La paix, la stabilité et le progrès ne peuvent exister que si chacun assume ses responsabilités avec humilité et respect." Aujourd’hui, Samuel Eto’o est tout ce que cette déclaration condamne.
Il est temps pour les Camerounais de se lever et de réclamer une gestion transparente et respectueuse, loin des querelles personnelles et des égos surdimensionnés. Car à force de laisser un homme jouer avec notre avenir, nous finirons par perdre ce qui reste de notre dignité.
Samuel Eto’o, sachez ceci : "L’histoire ne retient pas ceux qui divisent, mais ceux qui unissent." Rectifiez votre trajectoire avant qu’il ne soit trop tard, car le Cameroun mérite mieux que votre arrogance.
Blaise ETONGTEK | ©CFOOT