Selon Calixthe Beyala, on peut avoir tout l'or du monde, mais on finira par rendre l'âme, quelque soit ce que l'on peut faire. Même Paul Biya ou qui que ce soit, ne fera que retarder la mort quelque soit la fortune qu'il possède.
"De la mort ou le sens de l'égalité divine. Aujourd'hui quelqu'un m'a dit "Madame Beyala, Untel ne mourra pas. Il a beaucoup trop d'argent." J'éclatai de rire tant cette affirmation me parut dénuée de bon sens. Riche ou pauvre, on mourra tous. S'il est une chose que l'argent n'achète pas, c'est bien la vie. On peut grâce à la monnaie retarder l'instant fatidique, mais elle finira par arriver. En ce sens, Dieu a eu à faire en sorte que ses enfants soient tous égaux !", écrit Calixthe Beyala dans un publication sur sa page Facebook.
On comprend aisément que l'écrivaine franco camerounaise fait allusion dans sa publication à Paul Biya.
Ça fait exactement un mois que Paul Biya est absent du Cameroun et rien n'est officiellement dit sur le lieu où il se trouve, même s'il est incontestablement établi qu'il est sous soins intensifs dans un hôpital parisien; ce qui suscite déjà beaucoup de débats sur la vacance à la présidence de la République. C'est pourquoi tout est mis en œuvre, mais alors tout pour qu'il apparaisse ne serait ce que furtivement au sommet de la Francophonie qui commence ce vendredi 4 octobre en France.
À cet effet, un protocole médical de dopage à la Kétamine est en cours pour lui permettre de tenir quelques heures lors des cérémonies. Mais selon nos sources, les médecins décommandent cette pratique qui peut entraîner un arrêt cardiaque irréversible.
Il faut préciser que ce procédé a été appliqué pour qu'il tienne en Chine et se rende après à l'Assemblée générale des Nations-Unies. Mais ça a plutôt aggravé sa situation. D'où l'annulation de son voyage pour les États-Unis en plus de l'évacuation urgente de la Suisse vers un hôpital parisien pour l'opération de la prostate.