Sécurité: un réseau d’agresseurs démantelé à Yaoundé

Ils sont six individus regroupés dans un réseau d’agresseurs, ils semaient la terreur dans la ville de Yaoundé, Région du Centre. Le 23 avril 2017 ces agresseurs ont été rattrapés par les éléments de la Division régionale de la police judiciaire (DRPJ) du Centre. Aujourd’hui ils sont gardés à vue dans les locaux de la DRPJ où ils attendent d’être déférés au parquet. Le quotidien Le Jour dans son édition du 3 mai 2017 rapporte que ces derniers se sont spécialisés dans les vols à bord des taxis. Assez organisés pour commettre leur forfait «dans ce gang il y avait un chauffeur de taxi considéré comme le chef de gang», indique le quotidien. Ils opéraient tous les jours entre 18h et 22h. Après agression, ils allaient abandonner leur victime au Lac municipal.

Ils sont six individus regroupés dans un réseau d’agresseurs, ils semaient la terreur dans la ville de Yaoundé, Région du Centre. Le 23 avril 2017 ces agresseurs ont été rattrapés par les éléments de la Division régionale de la police judiciaire (DRPJ) du Centre. Aujourd’hui ils sont gardés à vue dans les locaux de la DRPJ où ils attendent d’être déférés au parquet. Le quotidien Le Jour dans son édition du 3 mai 2017 rapporte que ces derniers se sont spécialisés dans les vols à bord des taxis. Assez organisés pour commettre leur forfait «dans ce gang il y avait un chauffeur de taxi considéré comme le chef de gang», indique le quotidien. Ils opéraient tous les jours entre 18h et 22h. Après agression, ils allaient abandonner leur victime au Lac municipal. Les éléments de la DRPJ du Centre affirment que ces agresseurs avaient pris comme cible principale les femmes. Selon la police ils avaient par jour entre quatre et huit victimes. Leur butin s’élevait entre 90 000 et 150 000 FCFA à la fin de leur opération. A cela s’ajoutaient les téléphones portables, les laptops et les bijoux des victimes. Le véhicule à bord duquel les agresseurs commettaient leur forfait avait chaque jour une nouvelle plaque d’immatriculation. Aimé Raymond Evina le chef de la DRPJ du Centre a fait remarquer que le dénommé Roméo Sampabot présenté comme le chef de gang avait déjà été interpellé par le passé pour les mêmes faits. «Au moment de son exploitation ce malfrat a déclaré qu’il entretient des bonnes relations avec certains magistrats au parquet du Tribunal de première instance de Yaoundé, Centre administratif. La DRPJ a été saisie de cette affaire à travers plusieurs plaintes déposées par les victimes», écrit le quotidien.