Sérail: révélations sur Junior Biya, le dernier fils du président camerounais

• Des révélations sont faites sur Junior, le très discret fils de Paul Biya

• D'après les informations, il a été sacrifié au nom de la famille

• Brenda Biya est aussi citée comme une victime du "satanisme" de la famille présidentielle



Junior Biya disparu des radars depuis fin 2017, interpelle plusieurs camerounais qui se posent la question de savoir où se trouve le très effacé fils du président. Est-il encore vivant et dans quel état est-il? Pourquoi sa famille le cache autant alors que Brenda est libre de ses mouvements? Est-il mort? Autant que questions que l'auteur de la vidéo ci-dessous se pose. Il a d'énormes doutes sur l'inexistence des traces de Junior, dit-il, dans le monde.

Dans une récente vidéo, on entend Brenda dire qu'elle n'a confiance qu'en Junior? Parle-t-elle de lui comme un fantôme, un esprit à qui on confie nos soucis et qui ne juge point? Rémy Ngono toujours dans la même lancée fera une vidéo pour révéler que les deux enfants ont été sacrifiés par leurs familles.

La malédiction de Paul Biya sur ses enfants

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Brenda Biya est possédée par des démons. Junior est mongole". Ces affirmations sont de Modestine Carole Tchatchouang, l'ex compagne de Kmer Kmer sur les "réseau sociaux" et aussi l'activiste qui tire sur tout ce qui est Maurice Kamto et MRC.

Dans une vidéo virale sur la toile, elle expose les "tares" de la "première fille de la République camerounaise". A l'en croire, la prunelle des yeux de Paul Biya descends aux enfers devant la perplexité de toute la nation camerounaise."J'ai très mal pour Chantal et Paul Biya qui doivent vivre ça. C'est le symbole de la malédiction qui s'abat sur la famille présidentielle", affirme-t-elle.

Docteur Carole Modestine Tchatchouang comme elle aime se faire appeler, trouve qu'il y a de chose étranges qui ressort de Brenda Biya, "même la beauté naturelle de l'enfant a complètement disparu".

Avant d'enchaîner, "on dirait un démon qui est en train de détruire l'enfant de l'intérieur.Il y a une tristesse, quelque chose de pas net qui ne peut laisser personne insensible". Brenda Biya est bien connue des camerounais et du monde entier. Elle a été citée dans de nombreux scandales notamment de dépenses excessives, d'abus de drogues ou de perversité par ailleurs. Mais ses parents n'ont que faire des langues serpentines qui vilipendent le nom de leur fille.

Aujourd'hui, elle s'est transformée en se montrant plus dans les grandes soirées VIP, less voyages, la cohabitation avec les grandes stars de la musique. Elle préfère ce monde que le monde intellectuel apparemment. Ce que Modestine Tchatchouang ne trouve pas bienséant. "Brenda Biya devrait être un exemple dans la société camerounaise. Mais non, elle montre une image désastreuse du titre qu'elle porte. Quelle jeune fille normale se comporte comme ça ? Elle fume comme une junkie. On est en train d'assister à un suicide de Brenda Biya, et vous êtes là à applaudir soit disant qu'elle vit sa vie,"déclare-t-elle sous le choc.

Mais elle ne cherche pas loin les raisons de cette transformation inimaginable de la fille de président. D'après elle, ce sont ses parents en commençant par Chantal Biya sa mère. "Brenda Biya est à l'image de ses parents, la malédiction présidentielle est en train de détruire la famille.

Ses attaques pointent du doigt l'éducation de base des enfants Biya qui est faussée. Ainsi déclare -t-elle, "On n'a jamais entendu parler de Junior. Les langues disent qu'il est mongole. Mais le veux m'attaquer à Chantal Biya. Même si on est la plus mauvaise mère du monde, on ne peut pas rester insensible à ça. Ce qui arrive à Brenda Biya est la conséquence des actes de Paul Biya."

Toutes ces tueries en zone anglophones, ces injustices que les camerounais vivent au jour le jour seraient transformées en malédictions qui poursuivent les enfants Biya. Elle appelle Chantal, la maman de la République à bien vouloir stopper ces malédictions en implorant son mari Paul afin de sauver la vie de ses enfants en arrêtant de verser le sang des innocents sur le territoire camerounais.