S0domie des enfants : le violeur de Baleng passe aux aveux ; d'autres victimes annoncées

Plusieurs autres jeunes ont été victimes

Sun, 4 Sep 2022 Source: www.camerounweb.com

La nouvelle a fait beaucoup de tollé. Un boutiquier a sodomisé des enfants à Baleng. Aux dernières nouvelles, le violeur est passé aux aveux. L'homme ne serait pas à son premier coup, il aurait violé un autre garçon il y a quelques mois.

Une réunion avec le chef du quartier et le sous préfet s'est tenue ce dimanche matin, car plusieurs veulent savoir pourquoi la maman du garçon récemment violé préfère un arrangement pécuniaire.

Il faut rappeler que cet homme n'est pas notable, mais tenancier d'une vente à emporter au quartier Ndionkou à Baleng.

Pédophilie : un boutiquier sodomise un adolescent à Baleng

C'est une histoire ubuesque qui dépasse l'entendement. Un boutiquier, surnommé Dodo, pourtant marié, sodomise un adolescent âgé de 15 ans à Baleng, un village du Cameroun situé dans la région de l'Ouest, a appris la rédaction de camerounweb.com.

Dodo, ce boutiquier ayant entretenu des rapports sexuels avec l'adolescent dont nous dissimulons le nom pour des raisons de protection de son image, est installé au quartier Dionkou au village Baleng. Il a sodomisé le jeune garçon à plusieurs reprises. Selon des témoignages, l'adolescent n'est pas sa seule victimes. << Il attirerait ses victimes avec les bonbons et biscuits avant de les trainer à l'arrière de sa boutique pour les détruire le rectum...>> s'indigne un riverain.

Le jeune garçon de 15 ans s'était rendu en vacances au village Baleng. Son bourreau Dodo va l'attirer avec le même appât avant de le sodomiser. Ressentant les douleurs atroces, le jeune garçon racontera toute sa mesavanture à ses parents.

Ceux-ci vont attraper le boutiquier infortuné qui passera aux aveux. Ils trouveront un arrangement qui selon lequel le boutiquier doit leurs verser la somme de 100 000 fcfa pour les examens et soins de la victime, ensuite il versera chaque année et pendant quatre ans, la somme de 100 000 fcfa pour assurer les frais de la scolarité de l'enfant. Un accord qui ne sera pas accepté par une partie de la famille de la victime. Ceux-ci va decider d'exposer le boutiquier et signaler à ma police. Aux dernières nouvelles, il serait en exploitation entre les mains des forces de l'ordre.

Source: www.camerounweb.com