Une histoire amoureuse très courte
« La femme, il faut la craindre », lâchent plusieurs internautes sur la toile. Le lanceur d’alerte N’zui Manto narre tellement bien les faits que la rédaction propose à ses lecteurs de le lire. Il dit ce qui suit.
Piment et schéma info : coup double ! Douala : il rencontre un dangereux bébé en boîte qu’il ramène à la maison. Le bébé le drogue, chicote 800 000 francs CFA, un ordinateur, un iPhone 12 et prend une violente tangente.
Une femme sans fesse, c’est comme un lit sans oreillers, dit le célèbre dicton. À Douala, un jeune homme décide de se rendre dans une discothèque de la place pour évacuer le stress quotidien. Dans la salle, tout au fond d’un angle, ses yeux dénichent dans l’obscurité la paire de fesses sphériques de Jordane rebondissant comme un ballon jeté depuis la stratosphère.
Il n’est plus question d’évacuer le stress mais de vider sa vessie. Le garçon foudroyé par le derrière ballonné de la jeune femme lui propose un verre avant de lui confesser l’amour et tous les sacrifices de ce monde qu’il est prêt à assumer juste pour obtenir un sourire de ses lèvres juteuses.
Enchantée, Jordane propose d’aller passer la nuit chez lui, question de lui donner tout le temps pour manipuler, tripoter, fricoter, malaxer, palper, chipoter l’objet de ses convoitises qu’elle traine dans son pantalon moulant.
Le garçon embarque sa dulcinée dans un taxi qui les dépose à son domicile, lieu d’un succulent film, meilleur que ceux de Dorcel Africa. Entre cris, gémissements assourdissants et bruits gésiétiques, Jordane suggère d’observer une courte pause question de se rafraîchir et de remettre le compteur fessier à zéro.
Le couple se désaltère mais soudain, le jeune homme bascule dans un violent sommeil et ne revient à lui que le lendemain en mi-journée.
Laptop : Chicoté ! 800 000 FCFA, chicotés ! iPhone 12, chicoté ! Une plainte a été déposée contre Jordane, partie sans que personne ne voit son derrière…
