Alain Denis Ikoul dans le viseur de Samuel Eto'o
L'arrestation musclée du journaliste sportif Alain Dénis Ikoul à Douala puis envoyé à Yaoundé par des gendarmes cacherait une volonté du président de la Fécafoot de nuire à notre confrère.
Dans une tribune, Alain Dénis Ikoul dévoile que cet acharnement envers sa personne ne date pas d'aujourd'hui. Cela aurait commencé en 2024 par une plainte.
En effet, en 2024, le Conseil National de la Communication (CNC) avait été saisi par Samuel Eto’o pour tenter de faire taire la voix critique d’Alain Denis Ikoul. Motif invoqué ? Des propos tenus lors de l’émission « Onze Entrant » sur Jambo FM.
Le fait troublant sur cette plainte est qu'aucune citation exacte de ces propos n’a été rendue publique, et la plainte visait davantage à intimider qu’à corriger", révèle le journaliste dans sa tribune.
"Pourtant, au lieu de dialoguer ou de répondre sur le fond, le président de la FECAFOOT exigeait des « sanctions exemplaires », comme s’il fallait faire un exemple de ce journaliste au verbe tranchant", ajoute t-il.