Samuel Eto'o président en 2025 : tout se précise, Ferdinand Ngoh Ngoh tourmenté veut gâcher ses plans

La gouvernance de l’ancien attaquant fait régulièrement polémique.

Tue, 1 Aug 2023 Source: www.camerounweb.com

Samuel Eto'o président en 2025, le 'Cameroun va changer par force', c'est la réaction d'un internaute à une sortie de Jean Crépin Nyamsi sur la jeunesse africaine qui prend ses responsabilités et opère des coups d'Etats.

Pour cet internaute, 2025 est probablement l'année de Samuel Eto'o comme président de la République du Cameroun. D'après le journal Jeune Afrique, propulsé à la tête de la Fecafoot en décembre, l’ancien attaquant star du Barça prend soin de n’afficher aucune ambition autre que footballistique. Mais à Yaoundé, on le soupçonne de se rêver un destin à la George Weah et de lorgner la succession de Paul Biya.

La gouvernance de l’ancien attaquant fait régulièrement polémique. Des plaintes ont été déposées au Tribunal arbitral du sport, à Lausanne, et au Tribunal de grande instance du Mfoundi, à Yaoundé, pour contester des décisions prises par la Fecafoot. Des lettres ont été adressées à la Fédération internationale de football (FIFA), notamment pour dénoncer le fait que Samuel Eto’o soit ambassadeur d’une société de paris sportifs.

Dans son pays où il fut idolâtré, son image est en tout cas écornée. Mais malgré ces épisodes de polémiques, le fauteuil de Paul Biya est toujours associé à son nom en compagnie d'un certain Emmanuel Franck Biya.

Samuel Eto'o ou Franck Biya à Etoudi : un média fait des révélations explosives sur les relations entre les deux hommes

La succession de Paul Biya est de nouveau sur les lèvres des camerounais. Deux hommes sont mis face à face dans cette bataille à l'instar de Samuel Eto'o, président actuel de la fédération camerounaise de football (Fécafoot) et Franck Biya, fils ainé du président Paul Biya et conseiller spécial de ce dernier.

Pour le confrère Camerounactuel, la bataille pour la succession de Paul Biya est donc déjà en cours, avec des acteurs comme Samuel Eto’o Fils et Franck Biya qui se disputent les faveurs du pouvoir. Il est encore difficile de prédire qui sortira vainqueur de cette lutte, mais une chose est sûre : les enjeux sont élevés et la compétition sera féroce.

« Samuel Eto’o Fils, qui est un sympathisant et un militant inavoué du Rdpc, est un proche et un soutien indéfectible du régime actuel, notamment à travers sa relation avec Oswald Baboke et d’autres. Il aspire également au pouvoir.

Pourtant, cet ancien ami de Franck Biya est maintenant en froid avec lui. Eto’o Fils n’a jamais su rendre à la population camerounaise l’amour que celle-ci lui a donné. Entre choisir le champagne pour lui-même et l’eau pour tous, il a rapidement fait son choix. Le pichichi a opté pour le champagne, au détriment de l’eau pour l’ensemble du peuple, en soutenant la candidature de Paul Biya en 2018, ce qui a plongé le pays dans l’abîme. Il a préféré soutenir l’oppresseur plutôt que de se ranger du côté des opprimés. Cette décision a confirmé les soupçons que certains avaient déjà à son égard.

Selon certaines indiscrétions, ce fervent admirateur de Mobutu, après avoir fait de nombreux allers-retours au palais d’Etoudi, rêve désormais de remplacer Paul Biya. Mais Franck Biya lui laissera-t-il cette opportunité ?

La bataille pour la succession de Paul Biya est donc déjà en cours, avec des acteurs comme Samuel Eto’o Fils et Franck Biya qui se disputent les faveurs du pouvoir. Il est encore difficile de prédire qui sortira vainqueur de cette lutte, mais une chose est sûre : les enjeux sont élevés et la compétition sera féroce.

Il est intéressant de noter que cette situation illustre les complexités de la politique et du pouvoir. Les alliances et les amitiés peuvent changer rapidement, et les intérêts personnels peuvent prendre le dessus sur les aspirations du peuple. Les observateurs attentifs continueront à suivre de près cette bataille pour la succession de Paul Biya, car elle aura des répercussions majeures sur l’avenir du Cameroun. » écrit le confrère.

Samuel Eto'o tourmenté à la Fecafoot : le rôle sombre de Ferdinand Ngoh Ngoh

Tout ne se passe comme prévu à la fédération camerounaise de football. Les rancœurs au sein du football camerounais sont tenaces. Après la mise à l'écart de la sélection d'André Onana qui avait suscité des tensions lors de la Coupe du monde, l'ancien vice-président de la Fédération, Henri Njalla Quan, a critiqué les agissements de Samuel Eto'o.

D'ailleurs Henri Njalla Quan Jr a été banni de toutes activités liées au football pour une période de 10 ans. Il écope aussi d’une pénalité pécuniaire de rien de moins que 10 millions FCFA.

Or, une source au sein du sérail nous confie également que Njalla Quan Junior a été reçu à la présidence et à une remis plusieurs pièces à conviction sur les trucages des matchs au sein de la Fecafoot.

D'autres sources indiquent que c'est Ferdinand Ngoh Ngoh qui serait caché derrière les tourments de Samuel Eto'o pour réduire son influence. De quelle influence s'agit-il ? Il se murmure que Samuel Eto'o a des ambitions politiques et que ce dernier lorgnerait un poste à Etoudi, celui de Paul Biya.

Jean Claude Mbede Fouda en parlait récemment et alertait sur l'aspect politique de Samuel Eto'o.

« Juste pour ceux qui douteraient encore de la politisation de la Fecafoot par in incompétent vaniteux qui rêve de devenir le George Weah du Cameroun en brulant des étapes.

Aurait-il oublié quelques détails? Avant de devenir président de la république, Son excellence George Weah a été un footballeur exemplaire. Un père de famille respectueux de sa femme et de sa fille camerounaise. Un modèle pour sa jeunesse qu’il n’a jamais enfermé dans des prisons en vantant son bras long. George Weah a payé des primes de joueurs à tous ses coéquipiers et n’a jamais humilié personne sur son chemin pour s’imposer avec son argent.

Très important, George Weah a eu l’humilité de construire patiemment sa trajectoire politique. Quand il a été taxé d’illettré, il est rentré humblement à l’école pendant des années. Que fait Samuel Etoo? Il prend des raccourcis. Au lieu d’aller étudier, il s’est fait offrir un PH.D Honoris causa obtenue grâce à sa popularité. Et se fait appeler Dr… » écrivait dans une tribune, le journaliste en retrait.

Source: www.camerounweb.com