Samuel Eto'o Fils ne veut pas pardonner au journal La nation d'Afrique. L'ancien capitaine des Lions indomptables du Cameroun a drépondu au directeur de publication Serge Sabouang dans un post publié sur sa page Facebook ce samedi 29 avril 2017. "Je n'ai pas besoin de vos excuses, car je vous avais prévenu. Il ne fallait tout simplement pas accepter l'argent qu'on vous propose pour me salir", a-t-il écrit.
Après avoir obtenu que le journal et l'auteur de l'article qui l'a déshonoré soit puni par le Conseil national de la communication, le capitaine du club turc de première division Antayaspor se propose d'ester en justice pour laver son honneur. "Maintenant il va falloir assumer, je vous attends au pénal!", ajoute-t-il dans son post avant de conseiller une vidéo qui renseigne sur l'impact qu'un mensonge peut avoir sur la vie d'un homme. "Regardez cette vidéo et vous verrez ce qui se passe avec vôtre complicité...bon week-end", termine-t-il.
En date du 29 mars 2017, Serge Sabouang a pris sa plume pour adresser une lettre d'excuses à Samuel Eto'o Fils. Son journal avait relayé une information faisant état d'une supposée brouille entre Samuel Eto'o Fils et le président gabonais Ali Bongo. Selon cette information fortement contestée par le joueur la querelle avait été provoquée par une histoire de sexe et lui aurait valu une interdiction de voyage au Gabon.