La Fecafoot et le PNUD renforcent leur lien
• La Fecafoot et le PNUD renforcent leur lien
• Une nouvelle rencontre a eu lieu aujourd’hui
• Plusieurs projets vont voir le jour
Journée marathon pour le président de la Fédération camerounaise de football. Il a eu trois importantes réunions aujourd’hui. La dernière, est celle tenue avec le Représentant résident du PNUD au Cameroun. Au cœur des échanges, le développement du sport au Cameroun.
« Échanges Fructueux entre Samuel Eto'o , Président de la Fecafoot - Officiel et Jean Luc Stalon , Représentant résident du PNUD pour un futur partenariat entre leurs deux institutions visant la promotion du Sport en faveur du développement », a annoncé la Fecafoot sur ses médias sociaux.
Il faut dire que depuis son arrivée à la tête de la Fecafoot, Samuel Eto’o multiplie les initiatives pour faire renaitre le Football camerounais.
Avec le PNUD, les relations ont toujours été bonnes. En effet, en janvier dernier, les deux entités avaient jeté les bases d’une collaboration fructueuse. Une première rencontre avait déjà eu lieu.
« Un partenariat gagnant-gagnant est en gestation entre la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). C’est ce qu’il faut retenir de la rencontre mardi entre Samuel Eto’o, le président de la FECAFOOT et Jean Luc Stalon, le Représentant résident du PNUD au Cameroun.Au terme de leur tête-à-tête, les deux hommes ont présenté à la presse les contours de la future collaboration entre les deux entités. Il s’agit notamment de développer les projets liés au football à l’instar de la construction des stades dans la région de l’Extrême-Nord ou encore des centres de loisirs au Nord-Ouest et au Sud-Ouest.Le répondant du PNUD a indiqué la disponibilité de cette organisation à accompagner la FECAFOOT, y compris dans la mobilisation des fonds relatifs à ces différents projets. Une annonce saluée par Samuel Eto’o qui s’est promis de redonner au football camerounais toute sa grandeur », annonçait la Fecafoot.
