Un cadavre a été retrouvé à Bafoussam, chef-lieu du département de la Mifi et de la région de l'Ouest. Il s’agit d’une femme qui présente des signes de violences sexuelles graves et des blessures mortelles qui laissent envisager qu’elle a été gravement malmenée et tuée ensuite par son ou ses bourreaux.
Le lanceur d’alerte Boris Bertolt écrit pour informer l’opinion publique de la découverte macabre : « Une femme violée, tuée, son corps abandonné à Bafoussam ».
Dans les détails, le lanceur d’alerte explique que « le corps d’une femme dont l’identité n’est pas connue a été découvert à Bafoussam précisément au quartier de Banengo 3 le lundi 27 février 2023 ».
En effet, « elle était nue et sans vie. Elle a visiblement été violée d’après les témoins. Ses assassins courent toujours ».
C’est une autre découverte choquante, après celle à Edéa où le cadavre d'une femme célèbre a été retrouvé en état de décomposition avancée.
Nzui Manto a porté à l’attention de tous que « le cadavre d'une femme en état de putréfaction a été découvert. Le quartier Aviation est depuis de nombreuses heures sous le choc et l'émoi après la découverte macabre des restes d'une femme gisant dans un bâtiment en construction », pouvait-on lire.
Il s’agit de Mispa Nangun, originaire du Nord-Ouest. La victime selon la source « avait fui les violences de la guerre qui déchirent ses terres et trouvé refuge à Édéa où elle devint connue grâce au wata-fufu et éro, principal mets de son commerce ».
En réalité, « le 07 décembre 2022, Mispa quittait son domicile sans plus jamais donner signe de vie jusqu'au lundi le 20 février, journée à laquelle une découverte ignoble viendra mettre fin à l'espoir qu'entretenaient ses proches.
Malgré son « état de décomposition avancée, Mispa a été identifiée grâce à ses vêtements et une pièce d'identité découverte sur les lieux. Une traditionnelle enquête a été ouverte ».
Toujours le 20 février dernier, un cadavre portant des coups de poignards a été trouvé sur l’autoroute de Nsimalen. La victime s’appellerait Marie-Florence Kwadith, infirmière, mère de quatre (04) enfants et résidant en France à Paris.
Nous expliquions que « sa présence sur le territoire camerounais était due à sa participation aux obsèques de sa sœur. Après avoir accompagné un proche à l’aéroport de Nsimalen et sur le chemin du retour, son existence a été subitement écourtée.
Des malfrats lui sont tombés dessus sur la route et l’ont poignardée à plusieurs reprises. D’autres sources évoquent un différend foncier qui l’opposait à un homme qui avait promis de lui ôter la vie ».