• Ce scandale n’honore pas l’image du pays
• Le FDC exige une enquête
• VSi elle se concrétise, des têtes vont tomber
Depuis le début de la Coupe d’Afrique des nations TotalEnergies Cameroun 2021, la présidence de la République est secouée par une affaire de mœurs légères avec le recrutement des femmes qui se font appeler influenceuses, qui ont été déplacées en classe affaire, logées et nourries au frais du contribuable.
Elles s'appellent Zomo Bem Aline Marie Christine, Biakmen Laure Patricia et Bilo'o Efoua Elisabeth. Selon une note du directeur du cabinet civil de la présidence de la République adressée au SGPR, ces trois femmes tristement célèbres pour leurs multiples scandales sexuels sont invitées au Cameroun pour "mission spéciale" du 06 janvier au 10 février.
Dès leur arrivée à Yaoundé, elles sont logées au prestigieux hôtel Mont Febe. Elles enchainent des scandales en tenant des propos vulgaires à l’égard du président de la République et son épouse. « Je suis la pute de Paul Biya », revendique une d’entre elles. Pour le ministre délégué auprès du ministre de la justice Jean de Dieu Momo, le document en circulation sur les réseaux sociaux est faux. Samuel Mvondo Ayolo serait victime d’une cabale.
Depuis le scandale et leur expulsion, les voix s’élèvent pour que la lumière soit faite sur ce scandale qui salie l’image du Cameroun. C’est le cas du le FDC exige une enquête et des sanctions exemplaires
COMMUNIQUE DE PRESSE:
Scandale d’État de trop : le FDC exige une enquête et des sanctions exemplaires*
Le FDC a été scandalisé comme tout le peuple camerounais de constater que dans le cadre des préparatifs et l’ouverture de la CAN 21 au Cameroun, le gouvernement ait fait recours aux « influenceurs (es) de tout genre, y compris des dames aux mœurs publiques légères de notoriété internationale, depuis la Diaspora en France en particulier.
Le FDC s’interroge de savoir quel est le contenu sémantique et même la charge paradigmatique que revêt ce mot « Influenceurs » dans le contexte Camerounais et celui de l’organisation de cette CAN 2021 en particulier? Quels étaient leurs rôles et leur apport dans le cadre de la CAN2021? Sur la base de quels critères a-t-on procédé aux choix de ces fameuses influenceuses ? De quels CV se prévalent la plupart des autres influenceurs et influenceuses qui ont été recrutés ici et là aux frais des contribuables Camerounais ?
Quel est leur impact sur la jeunesse camerounaise ? Quels sont les résultats que ces influenceurs(es) ont obtenu ailleurs pour prétendre venir les capitaliser en cette période de Fête de Football africain au Cameroun ? Et enfin quelle est l’image qu’on veut envoyer à la société en général et à la jeunesse en particulier ?
Vu la gravité de ce scandale d’État et de l’usage des fonds publics à des fins non conventionnelles et qui n’honorent pas les mœurs et des valeurs de la République exemplaire que nous recherchons depuis des décennies sous ce curieux Régime du Renouveau qui dit une chose et fait son contraire en matière de Rigueur et de Moralisation.
Le FDC demande avec insistance l’ouverture d’une enquête judiciaire et administrative afin d’en dégager les responsabilités et de tirer toutes les conséquences sur ce scandale d’État de trop. Et surtout que les auteurs de ces dérives d’État soient sanctionnés de façon exemplaire pour sauver l’image et l’honneur de la République.
Le président National du FDC
Conseiller municipal
Denis Émilien Atangana
Chantal Biya en colère
Deux des trois filles de joie invitées par la présidence de la République pour une « mission spéciale » pendant la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations ont été chassées manu militari de leur hôtel mardi et larguées en France nuitamment, le même jour. Il s’agit de Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth. Contrairement aux informations qui expliquent leur mésaventure par leur activité de prostitution, une source introduite au palais présidentiel évoque plutôt la colère de la première dame Chantal Biya.
En effet Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth ne sont plus à présenter sur la blogosphère camerounaise. Trempées dans de nombreux scandales sexuels, ces dames aux mœurs légères ont toujours revendiqué publiquement leur pratique de la prostitution. Les nudes de Zomo Bem Aline sont abondantes sur la toile. C’est donc en connaissance de cause que le directeur du cabinet civil de la présidence de la République les a invitées (tous frais payés) au Cameroun.
Ce qui a provoqué la colère de la première dame, c’est le lien hasardeux que ces dames ont tenté d’établir entre elles et l’épouse du président de la République. Chantal Biya n’a pas aimé le fait que ces femmes déclarent être son amie dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’elle a donné les instructions pour que leur séjour soit écourté au Cameroun.
« Le rouleau compresseur contre Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth s’est véritablement activé lorsque dans une vidéo tournée au Mont Febe lundi, elles ont cité la première dame, Chantal Biya et la femme du patron de la SNH, Nathalie Moudiki qu’elles ont présentées comme leurs amies », rapporte le journaliste et lanceur d’alerte Boris Bertolt. Le départ anticipé de ces prostituées a coupé l’appétit aux ministres de Biya à qui elles avaient promis de torrides séances de jambe en l’air en mondovision.
CamerounWeb vous l’intégralité du film du chassement des filles de joie de la présidence raconté par Boris Bortolt
Paul Biya a instruit hier que les deux bordelles sur les trois en mission spéciale au Cameroun : Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth , qui étaient logés gracieusement sur le dos du contribuable au Mont Febe soient illico presto expulsés du Mont Febe.
Cette expulsion intervient après la révélation jeudi dernier du scandale et une levée de bouclier dans l’opinion publique et y compris au sein du sérail; notamment de la famille présidentielle.
Le rouleau compresseur contre Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth s’est véritablement activé lorsque dans une vidéo tournée au Mont Febe lundi, elles ont cité la première dame, Chantal Biya et la femme du patron de la SNH, Nathalie Moudiki qu’elles ont présentées comme leurs amies.
Mis au parfum dès lundi soir, la décision a été prise finalement mardi en fin de matinée de les expulser du Mont Febe. Car des proches de Mvondo Ayolo n’ont pas également manqué de lui faire savoir que la présence de ces bordelles était néfaste pour l’image de la CAN 2021.
Des places leur ont directement été trouvées dans le vol Air France de 23h à destination de Paris. Alors que sur la note de la mission spéciale signée le 15 décembre 2021 leur retour était prévue pour le 10 fevrier 2022.
Biakmen Mbiayi Laure Patricia allias Lolo Fondja qui se faisait discrète et également présente dans la mission spéciale est restée au Cameroun.
Zomo Bem Aline Marie Christine et Bilo’o Éfoua Elisabeth sont arrivées à Paris ce matin avec le reste de “ bois bandé “.