Impliquée dans un scandale de sextape, Sandy Boston n’est pas au bout de ses peines. L’activiste et militante de la Brigade Anti-Sardinards (BAS) n’aura pas le temps de digérer la diffusion des images intimes sur les réseaux sociaux. Niat Bayano avec qui Sandy figure sur les images a fait une sortie pour la noyer. Elle tient Sandy pour unique responsable de ce scandale et l’accuse de harcèlement. Selon celui-ci, Sandy de Boston s’est introduite dans son lit alors qu’elle dormait avec sa femme. Il n’a pas donné des détails sur ce qu’ils ont pu faire à trois dans la chambre. Niat Bayano s’est contenté de déclarer qu’elle ne savait pas que Sandy était rentrée dans leur chambre.
Cette version ne convainc point son interlocuteur qui lui demande pourquoi son épouse n’a pas réagit en voyant une autre femme dans son lit. Niat est resté évasif sur cette dernière question. D’autres révélations de Flore de Lille confirment la thèse de harcèlement évoqués par Niat Bayano. Sandy de Boston aurait envoyé de nombreuses images compromettantes à Niat Bayano. Il entretenait financièrement ce dernier et envisageait de s’installer en Belgique pour être plus près de lui.
Derrière la micropolitique contestataire de ces sphères d'opposition, il y a une micro-économie du papillonnage et du vagabondage sexuels structurée autour d'une circulation active des humeurs qui en appelle à l' échangisme et au mélangisme !!!
Tout se passe comme si la solidarité des humeurs de l’âme appelait la solidarité des humeurs du corps. Ce cher Shance lion a croqué quelques interactions concupiscentes de cette sphère politique au sein de laquelle combinaisons idéologiques ou politiques riment avec liaisons érotiques.
Au sein de cette sphère, les frictions ne sont pas seulement politiques mais aussi érotiques!
Les grands et petits pontifes de ce microcosme semblent s'approvisionner abondamment dans une clientèle de suiveuses dont de vieilles rococos aussi fanatisées qu' excitées, qu'ils réduisent à de la chair à consommer à la hussarde, sur le mode du poulet wasa-wasa. Décidément le piment de la révolution s'est transformé en révolution du piment.
L’ironie de ca !!! Waaahhh !!! » , a-t-il écrit.