L’on retrouve parmi ses défenseurs, le lanceur d’alerte Boris Bertolt et l’avocat Christian Ntimbane
• Un scandale sexuel a éclaté il y a deux jours au Cameroun
• Cela concerne l’activiste de la BAS Sandy Boston.
• L’on retrouve parmi ses défenseurs, le lanceur d’alerte Boris Bertolt et l’avocat Christian Ntimbane Bomo
Un scandale sexuel a éclaté il y a deux jours au Cameroun et concerne l’activiste Sandy Boston. Si l’intéressée n’est visiblement pas affectée ou donne l’impression de ne pas l’être au vu des sorties qu’elle a faites sur ses comptes réseaux sociaux, quelques figures et pas des moindres prennent sa défense. L’on retrouve parmi ses défenseurs, le lanceur d’alerte Boris Bertolt et l’avocat Christian Ntimbane Bomo.
En dépit du problème de mœurs qu’elle rencontre aujourd’hui, le lanceur d’alerte Boris Bertolt demande aux uns et aux autres de ne pas oublier les efforts faits par l’activiste Sandy Boston pour le changement du Cameroun.
Pour sa part, l’avocat Christian Ntimbane Bomo dénonce le fait que les images de l’activiste Sandy Boston en position inconfortable aient été publiées sur la toile. Toujours selon l’avocat, il n’est pas question de cautionner ou de justifier la publication des photos d’une femme dans des positions intimes. Celui qui se présente comme étant de la société civile condamne et dit non à la déshumanisation de la femme.
Retrouvez ci-dessous la tribune de Me Christian Ntimbane Bomo :
Non à la déshumanisation de la femme.
Publier la nudité d’une femme ou d’un partenaire, est un acte d’une déshumanité indescriptible.
Tous ceux qui procèdent à de tels actes sont indignes de la civilisation humaine. Ce sont des ordures. Je pèse bien mes mots, des ordures.
Depuis ce matin, je lis des posts faisant état de la publication des images de la nudité de notre compatriote très active au sein de l’activisme politique camerounais de la diaspora et dont je me préserve de citer le nom ici.
La Société Civile des Réconciliateurs tient à lui apporter tout son soutien moral et à la gent féminine une fois de plus humiliée, comme elle l’a fait dans un récent passé pour une autre victime d’un partenaire sans aucune morale ou vertu.
