De vieux dictons voudraient qu'on se méfie toujours, mais alors toujours, des femmes. Dans le cas d'espèce, Issa Tchiroma Bakary avait été prévenu. Le lanceur d'alerte lui a demandé de ne pas faire confiance à une femme attirante, de par son vécu politique, son expérience et le fait qu'elle soit bien connue dans l'environnement sociopolitique camerounais. Aujourd'hui, la même personne revient sur son avertissement et se donne raison.
Qui se rappelle que j'avais interpellé Issa Tchiroma sur cette dame ici sur ma page en lui demandant de prendre ses distances avec elle. J'avais même été très dur et ferme dans mon post en lui disant que s'il veut avoir des chances de soutiens massif, le mien en l'occurrence, il fallait la mettre KO.
Je me rappelle que certains internautes ici me critiquaient. Vous avez donc vu qu'à peine elle a été remerciée et à peine elle s'est retrouvée sur la chaine de la présidence de la République en train de dire qu'elle est prête à faire campagne pour le président Paul Biya.
Une dame qui se disait opposante, mais qui n'a pas pu hésiter une seule seconde à la première invitation du pouvoir. Elle a même qu'elle est prête à prendre sa carte du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) le même jour.
Imaginez donc cette femme dans l'entourage de Tchiroma au moment où nous parlons. Elle l'aurait vendu au régime pour moins que rien.
Je ne suis pas sorcier, mais je sais souvent sentir les gens même à des kilomètres. Mon flair ne me trompe que rarement.
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Elle a été chassée de l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) de Bello Bouba Maïgari, un autre candidat engagé pour l'élection présidentielle.