Le phénomène de dépigmentation prend de l'ampleur
Plusieurs entrepreneures camerounaises ont choisi de vendre les produits cosmétiques et de beauté. Sur les réseaux sociaux, elles sont nombreuses à en faire la publicité. Peuvent être citées la députée Nourane Moluh Hassana plus connue sous le nom de Nourane Foster, Carine Mongoue alias Carimo, Aicha Kamoise, Nathalie Koah, Mira Cosmetic, etc.
Une influenceuse commence par se faire très présente depuis quelque temps maintenant sur la toile. À tel point qu’il a attiré l’attention d’un activiste qui écrit : « Je vois les photos de cette femme partout sur Meta et on me dit qu'elle est Camerounaise et elle vend le djansang jusqu'à vendre le buvable.
Franchement, qui achète ses produits ? Comment une personne dite normale peut volontairement décider de ressembler à une vampire ou une zombie ? On dirait la dépouille maquillée d'une femme qui vient de sortir de la chambre froide.
Je plains très sincèrement les personnes qui se donnent à un tel niveau de changement. Ça doit cacher un profond mal-être pour se transformer de la sorte. Mesdames, être belle ne veut pas dire faire le djansang.
Le djansang non seulement fragilise votre épiderme mais vous prédispose à toutes maladies de sang et de cancer. Si on était dans un pays sérieux, le djansang serait interdit et criminalisé.
Vivement que le changement puisse s'opérer au Cameroun pour qu'on puisse avoir des dirigeants soucieux de la santé des Camerounais et qui vont mettre stop à la vente du djansang dans le pays ».
Étrangement, la femme ressemble quelque peu à Ivana chef d’État, la maître spirituelle qui est, elle aussi, dans la commercialisation de ces genres de produits.
