Sextape avec Baltasar : Emma Lohoues reconnait les faits

Quelques jours après que le scandale a commencé, des sources ont cité le nom de l’influenceuse ivoirienne Emma Lohoues comme faisant partie des femmes que Baltasar a eues dans son lit. Plus de 400 vidéos ont été retrouvées sur le serveur de l’homme devenu rapidement célèbre grâce à sa solide hanche et son attitude à faire plusieurs minutes lors de la pratique.

Emma Lohoues fait-elle vraiment partie des influenceuses qui auraient reçu chacune une somme de 5 millions de francs CFA de la part de Baltasar Ebang Engonga pour coucher avec lui. Tout indiquerait que oui, selon les lanceurs d’alerte. Mais existe-t-il des preuves d’une telle chose ? Jusqu’ici, aucune n’a été divulguée.

Il ne reste alors que la parole de la principale concernée. Justement, Emma Lohoues a répondu aux rumeurs selon lesquelles elle aurait forniqué avec Baltasar, directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) déchu.

La compatriote de Carmen Sama (elle aussi citée parmi les femmes passées en revue par Baltasar) a été interpellée au sujet de la rumeur de son aventure avec l’Équatoguinéen. Elle a apporté une réponse : « On dit aussi que j’ai fait du Porta Potty, que je vends de la drogue, que je fais du blanchiment d’argent, que je suis une prostituée, que je vole des portes, je dois des loyers, je sors avec des dirigeants, je suis intouchable, je suis dans des sectes et j’en passe ».

Dans la suite de son intervention, elle dit attendre simplement les preuves « pour demander pardon au peuple ivoirien d’avoir sali son drapeau. Après ça, sûrement que le peuple sera moins en colère contre ma modeste personne. Et puis il paraît que Baltasar kiffe les femmes mariées exemplaires, non ? Je n’en fais pas partie ». Admirez la marque de l’ironie dans cette réponse.

Il s’agit d’une réplique pour nier les faits, on l’a bien compris. Des preuves, aucune n’existerait, vu l’assurance des propos d’Emma Lohoues. Voilà qui devrait normalement refroidir les rumeurs liées à Lohoues dans cette affaire.