Sextape : la toute première sanction est tombée pour Brenda Biya

« Si le cœur de Paul Biya résiste à ça, c’est qu’il peut vivre encore 100 ans. Le baiser avec la langue de ça. Notre Brenda nationale vient de publier la vidéo de la gloire. Oh yes », a écrit l’activiste Jorel Jacques Zang sur les réseaux sociaux. Il est aussi tomber sur les sextapes publiées sur le compte de Brenda dénommée kingnastyy.

En tout cas, « ce sont les signes de la fin et vous verrez plus que ça, vous serez plus choqués que ça. Il y a plus fort que les vidéos publiées. Le mal est beaucoup plus profond que ce vous voyez sur la toile », avertit le lanceur d’alerte.

En effet, poursuit-il, « Dieu écoute toujours les souffrances d’un peuple faible. Et il a sa façon à lui d’y répondre à son temps et à son heure. Il peut répondre à travers le comportement d’une personne directement liée à la personne à qui il veut répondre. Il peut t’enlever ceux que tu aimes, rendre pala pala des personnes à qui tu tiens, etc. C’est exactement ce qui se passe en ce moment. En gros, c’est le karma ».

Quelques instants après que les vidéos de Brenda Biya ont fuité, son compte a été désactivé. « Mince, en moins de 5 minutes, le compte a été supprimé », se moque Zang. La principale concernée avance que son compte a été piraté parce qu’elle « sent que le retour sera dévastateur », promet l’activiste.

« Apparemment, notre chère Brenda ne connaît pas très bien la "véritable nature" de son père Paul Biya. C’est un homme qui est capable de mettre toute personne gênante pour son image en hors d’état de nuire et ce, peu importe son lien avec la personne. Donc Brenda, tu joues avec le feu », prévient la source susmentionnée.

D’autres sources indiquent que les vidéos étaient tellement choquantes que le réseau social Instagram a dû les bloquer pour ne pas choquer les internautes. C’est donc une première sanction infligée à Brenda Biya que tout le monde au Cameroun veut voir derrière les barreaux. Mais ça, c’est une autre histoire.