Auteur d'un doublé fin semaine dernière et "héro de Marseille" ces derniers moment, l'attaquant camerounais continue d'être moqué et humilié par des analystes sportifs sur les plateaux de télévision.
Après de nombreuses sortie critique à propos du joueur d'origine camerounaise, c'est le tour de l'ancien international français Christophe Dugarry, de cracher "ses vérités" à propos de Faris Moumbagna.
Le Camerounais est selon lui, un très mauvais joueur qui n'a pas place à Marseille et en Ligue 1.
"Il a montré de telles limites techniques que c’est presque étonnant de voir qu’il puisse jouer en Ligue 1 (…) On a vu des choses quand même, ça pique les yeux. Il y a des mecs qui n'ont jamais joué en pro et qui doivent se demander comment il fait. Tu peux avoir des pieds moyens mais là, le déficit technique est tellement important. Il faut voir les conduites de balle, les contrôles. C'est une faiblesse des bases du football (…) Le football, ce n'est pas être costaud et faire des déviations de la tête, même si ça peut aider", a déclaré le Champion du monde français sur RMC.
Rappelons que le jeune joueur d'origine camerounaise s'est récemment illustré à travers des menaces de plaintes proférées à l'encontre de l'artiste Valséro qu'il accuse d'avoir utilisé son image en l'associant à un évènement sans son accord.
Dans un courrier daté du 17 mars 2024, un cabinet d'avocats informe Valsero que son client, Monsieur Faris Pemi Moumbagna, refuse fermement que son nom et son image soient utilisés sans autorisation préalable. Le courrier fait référence aux publications de Valsero sur les réseaux sociaux où il a mentionné le nom de Faris Pemi Moumbagna sans son consentement.
Il est précisé que Faris Pemi Moumbagna ne connaît pas Valsero et ne l'a jamais rencontré, ce qui renforce sa volonté de ne pas être associé à lui de quelque manière que ce soit.
En tant que personnalité publique, Valsero est sommé de cesser immédiatement d'utiliser le nom et/ou l'image de Faris Pemi Moumbagna dans ses futures publications ou tout autre support, sous peine de poursuites judiciaires.