Parmi tous les sujets (dont la guerre entre la Fecafoot et le ministère des Sports) qui défraient la chronique ces derniers temps, il y a aussi la vie chère. Ça justement, beaucoup de personnes semblent l’avoir oublié.
Pas Jorel Zang qui le rappelle à ses abonnés : « Bonjour mes légendes. Juste vous informer de l'augmentation des prix des produits de première nécessité en vigueur.
À titre d'illustration, la farine a augmenté de 2 000 francs ces dernières semaines. S’il y a soulèvement populaire un jour au Cameroun, ce sera à coup sûr à cause de 3 facteurs : 1- la cherté de la vie poussant les Camerounais à n'être plus capables de manger correctement.
2- La fermeture ou l'augmentation des boissons alcoolisées poussant les Camerounais à ne plus boire comme à l'accoutumée.
3- La fermeture des églises car tu touches à la croyance de l'homme et surtout du Camerounais, ça veut dire que tu as tué tout espoir en lui », lit-on sur sa page.
Le dernier point interpelle : « Pour le troisième, tu as tout faux fiston. Dieu n’habite pas dans une maison. Il est en toi si tu l’acceptes », lui répond un compatriote.
« À moitié d’accord avec vous. Dieu n’habite dans aucun bâtiment fait de mains d’hommes, il vit en nous (…) Par contre là où vous avez tort, c’est de dire qu’il faut accepter Dieu et non, on n’accepte pas Dieu, c’est lui qui nous accepte Jean 10:11 », répond un autre citoyen au premier intervenant.
Les commentaires sur les réseaux sociaux sous les posts de ces activistes et lanceurs d’alertes ou influenceuses, il y en a tellement chaque jour.