Nous nous battons contre le régime actuel car leurs méthodes ne sont pas bonnes
A quelques mois de la présidentielle de 2025, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun n’a pas encore fini avec ses problèmes internes. La formation politique est traversée par des tensions et divergences de points de vue. Si certains cadres comme Michelle Ndonki ont été virés du parti d’autres y demeurent tout en critiquant les pratique de leur famille politique. C’est le cas Salomon Beas . Dans une récente publication, il invite les radicaux du parti à ne pas ressembler au parti au pouvoir qu’ils combattent. La calomnie, les menaces d’assassinats et autres ne devraient pas faire partie des rangs des combattants pour la liberté selon lui.
« Ils parlent du vivre ensemble et veulent assassiner ceux qui ne pensent pas comme eux.
Ils parlent de la démocratie et ne sont pas prêts à la vivre .
Ils veulent la paix et ne sont pas disposées à éduquer le pardon, la concorde et la réconciliation.
Ces radicaux qui croient que faire de la politique c'est insulter, calomnier et tuer les gens .
Ils veulent la démocratie et prônent la violence.
Ils parlent de l'unité, et divise les familles aux visions politiques différentes.
Nous nous battons contre le régime actuel car leurs méthodes ne sont pas bonnes par conséquent nous devons être différents.
Vous n'allez pas créer les nouveaux camerounais.
LA VISION DES PÈRES FONDATEURS UM NYOBE, ERNEST OUANDIE, FÉLIX MOUMIE, OUSSENDE AFANA se mettra en place pour un Cameroun nouveau où les énergies seront libérées sans rancunes et dans le dialogue . », a-t-il déclaré.
