Une femme camerounaise a récemment témoigné de son expérience traumatisante avec une entreprise de recrutement suspecte à Douala, au Cameroun. Elle a échappé de justesse aux griffes de trafiquants d'êtres humains grâce à son intuition et à sa vigilance.
Selon son témoignage, elle avait vu une publication sur Facebook annonçant que l'entreprise recrutait des commerciaux. Elle a contacté le numéro fourni et a été mise en relation avec une femme brune qui l'a invitée à se rendre à PK8 à Douala pour un entretien d'embauche.
Une fois sur place, l'accueil qu'elle a reçu lui a donné des frissons. Elle a été escortée et on lui a interdit de parler à quiconque à son arrivée. Lorsqu'elle a rencontré la femme brune, elle a ressenti une énergie sombre et n'a pas pu fixer son regard sur elle pendant plus de 10 secondes.
La femme brune lui a parlé d'une "séance d'initiation pour tester ses capacités", ce qui a immédiatement déclenché ses soupçons. Elle a inventé une excuse pour partir et a pris la fuite, ne sachant pas ce qui aurait pu lui arriver si elle était restée.
Ce témoignage glaçant met en lumière la réalité du trafic d'êtres humains au Cameroun, au Nigeria, au Ghana, au Burkina Faso et dans d'autres pays d'Afrique. Les trafiquants utilisent souvent des tactiques sournoises pour attirer leurs victimes, comme de fausses offres d'emploi ou des promesses de voyages à l'étranger.
Il est important que les gens soient conscients de ces dangers et qu'ils prennent des précautions pour éviter de tomber dans les pièges des trafiquants. Les autorités doivent également renforcer leurs efforts pour lutter contre ce fléau et protéger les personnes vulnérables.