Traque : voici la cause des ennuis de dame Ndo abandonné par son ambassadeur

Pourquoi le commissariat de la Goutte d'Or, le collège Yvonne Le Tac et d'autres institutions du 18e arrondissement de Paris, en complicité avec le tribunal de Paris, en veulent-ils à Madame NDO ? Dans le silence complice de l’Ambassadeur du Cameroun en France.

C'est tout simplement parce qu'elle a découvert le 20 mai 2024 un groupe Snapchat appelé "Argent Facile", dans lequel certains élèves garçons du collège Yvonne Le Tac “NIAX ”entre eux, etc.

C'est dans ce groupe que ces jeunes garçons vont ajouter son fils et lui proposer de les rejoindre le mercredi 22 mai 2024 pour séduire des hommes âgés en échange d'argent.

Madame Ndo avait fait un enregistrement vocal dans ce groupe en annonçant qu'elle déposerait plainte le 21 mai 2024. Dès lors, tous les profils ont commencé à fuir le groupe. Le 21 mai 2024 en matinée, le principal du collège a accueilli son fils le matin et lui a forcé à écrire une lettre d'aveu, qu'il a ensuite transmise au procureur. Il se reprochait de quoi ? Il a d’ailleurs démissionné de ses fonctions depuis le 28 décembre 2024.

Le procureur a ordonné de placer les enfants de Madame Ndo à l'Aide sociale à l'enfance, qui va par la suite tenter d'envoyer son fils en psychiatrie, en tenant compte des rapports du fameux principal afin de le faire passer pour un fou et l'empêcher de témoigner.

Dès que Madame Ndo a commencé à parler de ce qu'elle avait vu et dont elle détenait les preuves, ils ont tenté de l'interner de force en psychiatrie. Ils lui ont fabriqué un casier judiciaire. Une grande partie des policiers du commissariat de la Goutte d'Or a déposé plainte contre elle, de même que les travailleuses de l'Aide sociale à l'enfance et toute l'administration du collège Yvonne Le Tac.

Son téléphone a été confisqué, celui de son fils perquisitionné, ils lui ont pris sa fille Norelisse en image et ont coupé tout lien avec elle depuis le mois de juillet 2024. Elle et son fils sont constamment en garde à vue dans ce fameux commissariat, sans savoir que les preuves qu'ils cherchent à effacer sont déjà bien gardées.

Depuis le début de cette affaire, nous demandons aux autorités françaises de rendre les enfants de cette pauvre maman et de mener des enquêtes pour identifier les adultes impliqués dans ce groupe et réseau P. Nous avons également sollicité l'aide des autorités camerounaises pour protéger Madame Ndo, en vain.

Étant donné que nous n'avons pas obtenu d'action du procureur, nous demandons une dernière fois, avant toute action journalistique avec ces preuves, aux autorités judiciaires françaises de se saisir de ce dossier et de rendre les enfants de Madame Ndo.

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