URGENT : Amougou Belinga fait arrêter l'entrepreneur de l'Immeuble Ekang, il a été , violenté, bastonné et traîné

L'affaire fait grand bruit

Tue, 18 Oct 2022 Source: www.camerounweb.com

C’est une information qui risque de faire grand bruit dans les heures à venir. Selon un texte signé « Le Japapeur », il est souligné que l’homme d’affaire Jean-Pierre Amougou Belinga a fait arrêter l’entrepreneur de l'Immeuble Ekang récemment inauguré. En attendant d’avoir la version des mis en cause, nous vous proposons le texte en question.



LE ZOMLOA DES ZOMLOA FAIT INJUSTEMENT ARRÊTER L'ENTREPRENEUR DE L'IMMEUBLE EKANG.

Sieur SOSSO, l'entrepreneur qui a gagné et exécuté le marché de construction de l'immeuble EKANG qui abrite le nouvel immeuble siège du Groupe l'Anecdote a passé cette nuit du lundi à mardi au Commissariat central numéro un de la ville de Yaoundé. Il a été interpellé manu military hier à warda par les éléments de la police. Le pauvre a été violenté, bastonné et traîné de force comme un vulgaire brigand. Jusqu'à ce matin au moment où nous alertons l'opinion nationale et internationale de ce énième abus de Jean Pierre AMOUGOU BELINGA, l'entrepreneur n'a reçu aucune visite de ces proches, même pas de son avocat à cause des consignes strictes données aux sbires par le procureur de la République aux ordres.

C'est hier en début d'après-midi que la situation dégénère à warda. Après plusieurs rendez-vous manqués, le PDG du Groupe l'Anecdote demande enfin qu'on lui fasse venir l'entrepreneur. Malgré le fait qu'il ait passé plus de deux heures dans la salle d'attente, ce dernier garde son calme et sa sérénité sachant qu'il vient pour le payement du reste du montant des frais de construction du nouveau siège du Groupe l'Anecdote. Rappelons que sur les 4 milliards conclus pour le marché de construction de l'immeuble EKANG, seul 2,4 milliards ont jusqu'à date été apurés. Depuis lors, les 800 millions de traite promis par le ZOMLOA ne sont toujours pas payés. En entrant dans le bureau de son hôte, sieur SOSSO est donc convaincu de repartir de là avec le pactole. Mais mal va lui en prendre, d'ailleurs la rencontre sera de très courte durée. En effet, l'échange débute à peine que cinq minutes plutard, la situation vire au vinaigre. Des éclats de voix virulents éclatent dans l'immense bureau du dernier étage. On entend le maître des lieux crier à tout rompre sur son visiteur: << je t'ai dit d'attendre, j'ai pas d'argent à te donner pour le moment>>. L'ingénieur apparemment las d'attendre refuse de céder. On l'entend rétorquer: << je ne peux plus attendre, mes prestataires et mes ouvriers me réclament leur argent, je ne sortirai pas d'ici tant que vous ne me désintéressez pas>>. S'en suit une dispute entre les deux hommes. Puis le bureau du ZOMLOA s'ouvre sur l'entrepreneur que le ZOMLOA est entrain de pousser à l'extérieur, la chemise déchirée, lui proférant des insultes en Ewondo. L'entrepreneur essaie de s'aggriper comme il peut à la porte capitonnée. Le ZOMLOA va l'empoigner de force pour le pousser dehors, et comme dans un baroud d'honneur et un sursaut d'orgueil, l'entrepreneur va laisser la porte qu'il tenait de la main droite et infliger une claque souveraine au ZOMLOA, ce qui va obliger ce dernier à relâcher son étreinte. Les gardiens de prison commis depuis l'an dernier à la sécurité du ZOMLOA après ses déboires avec le DGSN vont alors accourir et maîtriser de force l'entrepreneur à qui ils vont infliger une raclée mémorable, jusqu'à l'arrivée des éléments du Commissariat central numéro un. Les flics dans une vitesse éclaire vont conduire de force l'infortuné dans leurs locaux.

Une fois de plus, une de trop, celui qui se fait passer pour le protégé et intouchable de Ministre de la justice, Garde des Sceaux s'est fait justice dans son pays d'injustices, comme il l'avait déjà fait à l'immeuble siège de Nsam avec le Professeur Alain FOGUÉ, Patrick SAPACK et David EBOUTOU, et même l'ancien Directeur de Vision 4 Ernest OBAMA.

À la différence des cas précédents, cette fois-ci, nos sources nous apprennent que les chancelleries étrangères se sont saisies du dossier.

C'est donc une affaire à suivre...

LE JAPAPEUR de retour après un congé sabatique.

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