URGENT : Maxime Eko Eko, Chef de la DGRE, serait blanchi dans l'affaire Martinez Zogo, énorme rebondissement

Dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du journaliste Martinez Zogo, un rapport d'enquête préliminaire consulté par le magazine Jeune Afrique suggère que Maxime Eko Eko, chef de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE), pourrait ne pas être impliqué dans cette affaire tragique.

Selon le rapport, au moment du meurtre de Martinez Zogo, Eko Eko se trouvait dans son village, occupé à préparer le mariage de sa fille. À son retour à Yaoundé, il a procédé à l'arrestation des suspects initiaux, montrant ainsi sa coopération avec les enquêteurs. Cependant, malgré ces éléments, il a été convoqué pour un interrogatoire sur instruction présidentielle.

Au cours des auditions, les principaux suspects ont étonnamment innocenté l'ancien chef de la DGRE. Amougou Belinga, présenté comme l'un des commanditaires présumés, a nié toute relation significative avec Eko Eko, mentionnant même une conversation téléphonique qui l'a dissuadé de le recontacter. Le lieutenant-colonel Justin Danwé, chef présumé du commando, a compliqué l'enquête en modifiant ses déclarations à plusieurs reprises. Malgré cela, certains de ses propos ont été corroborés par d'autres sources. Danwé a mentionné le mobile du crime, expliquant qu'il avait agi en échange d'un crédit qu'il souhaitait obtenir, ce qui a été confirmé par Amougou Belinga.

Cependant, des zones d'ombre subsistent. Danwé a affirmé avoir remis la vidéo du crime au bureau d'Amougou Belinga le lendemain de l'assassinat, mais le téléphone contenant cette preuve cruciale reste introuvable malgré les recherches menées dans les locaux d'Amougou Belinga.

Bien que le rapport semble indiquer que Maxime Eko Eko pourrait ne pas être directement impliqué dans l'assassinat de Martinez Zogo, les doutes persistent. Les enquêteurs continuent de creuser cette affaire complexe pour démêler la vérité et rendre justice à la mémoire du journaliste tragiquement disparu.