USA : pourquoi Kamala Harris était le bon choix pour les Africains

Donald Trump, homme d’affaires milliardaires né le 14 juin 1946 à New York, est de nouveau élu à la présidence des États-Unis d’Amérique. L’homme d’État a eu la confiance des électeurs, faisant dire à tout le monde que l’Amérique n’est pas encore prête à voir une femme les diriger.

Donald Trump, lui le membre du Parti républicain, a été le 45e président des États-Unis du 20 janvier 2017 au 20 janvier 2021 avant d’être récemment élu 47e président des États-Unis, c’était le 5 novembre 2024. Il remplace Joe Biden.

Trump est de retour et beaucoup d’Africains ne savent pas ce que sera ce deuxième passage à la Maison en ce qui les concerne. Pour son premier tout, Donald avait privilégié l’Amérique d’abord au détriment d’autres pays. Les Africains avaient pâti de cette politique jugée égoïste.

Officieusement, certaines voies d’entrée dans le pays le plus libre du monde avaient été fermées aux Africains. Alors le retour de Trump, « certains le voient comme une chance, d’autres avec appréhension », sait celui qui se fait appeler Le patriote camerounais.

Personnellement, dit-il, « j’avais placé mes espoirs en Kamala Harris. Elle aurait été la première femme et la première femme noire à diriger les États-Unis. Elle voulait offrir aux jeunes un soutien de 25 000 dollars pour acheter leur première maison et proposer 6 000 dollars aux mères pour la première année de vie de leur enfant ».

Et malgré sa défaite, elle s’est battue avec dignité, « entrant tardivement dans la course face à un adversaire préparé depuis quatre ans. Félicitations à Donald Trump. Que ceux qui ont voté pour lui ne disent pas un jour, "si je savais" », termine la source susmentionnée.