Un mari empoisonné simule la mort et découvre le complot de sa femme au téléphone

Je suis allongé mort sur mon lit, dans ma chambre, en train de regarder et d'écouter Linda, ma femme parler avec sa mère au téléphone. Elle était heureuse que je sois mort. Elle m'a tué avec un poison.

- "Oui maman", dit-elle au téléphone

"L'idiot est mort."

Sa mère : "Aussi vite ?"

Linda : "Oui oh, si vite."

"Je te l'ai dit, ce poison est très fort"

Linda : "C'est vrai maman. Qu'est-ce que je fais maintenant ?"

"Tu sais où il garde tous les documents ?"

Linda : "Oui, je le sais."

"Parfait. Assure-toi de les rassembler tous ensemble. Les maisons, les voitures, les banques et tous les autres documents disponibles."

Linda : "Ok maman."

"Après ça, commence à pleurer et appelle les voisins. J'arrive tout de suite".

Linda avait l'habitude de mettre son téléphone sur haut-parleur, raison pour laquelle je pouvais entendre sa mère.

Ma femme, depuis trois ans, a conspiré avec sa mère pour me tuer. Linda que j'aimais tant, une fille que j'ai vue à l'université et que j'ai envoyé à Paris pour son Master. L'envie de sauter du lit et de bondir sur elle était beaucoup mais je me suis retenu. J'avais besoin de garder mon calme pour dévoiler plus de secrets.

Je l'ai regardée chercher frénétiquement tous les documents de mes propriétés. Elle les a entassés derrière le miroir près du mur, tout en se mirent et en souriant. J'ai souri en moi, sachant comment je viens d'échapper à la mort. J'ai eu tellement de chance. Je me suis souvenu comment tout s'est passé la veille.

Flash-back : Je suis revenu plus tôt que d'habitude sans appeler pour en informer ma femme. Linda n'était pas dans le salon, j'ai décidé de mettre la pointe des pieds dans la chambre pour lui faire une surprise. En arrivant à la porte, je pouvais entendre sa voix, elle était au téléphone avec sa mère.

Linda : "Maman, es-tu sûr que ça va le tuer ?"

"Oui, je fais confiance au marabout"

Linda : « J'ai hâte que cet homme meurt, j'ai besoin de ma liberté, de vivre comme je veux."

"Il mourra demain, suis juste les instructions. Ajoute la substance dans son jus et assure-toi qu'il la boive."

Linda : "Je le ferai maman, fais-moi confiance."

J'étais collé à l'endroit. Ma propre femme avait prévu de me tuer et demain je mourrais d'empoisonnement. Je suis retourné sur la pointe des pieds au salon et aussi tranquillement que je suis entré, je suis parti.

Personne n'est sensé connaître le jour de sa mort mais moi si et c'était le lendemain, le pire des mains de la femme que j'aime tant. Le lendemain, étant aujourd'hui, le jour de ma mort, je suis parti très tôt à mon bureau comme si tout allait bien. Je suis revenu dans l'après-midi, préparé à boire du jus et mourir.

Linda ma femme était exceptionnellement heureuse de me voir, j'étais prétentieusement ravi de la voir aussi. On s'est embrassés oui et on a fait l'amour sur le canapé. Selon son plan, elle est allée m'apporter un verre de jus. Et selon mon plan, je l'ai envoyée apporter ma mallette pour lui montrer un document très important. Elle est partie. Avant qu'elle revienne j'avais échangé le verre de jus avec un autre. Elle m'a vu avaler la dernière goutte en revenant. Aussitôt, elle a souri.

Selon le plan, j'ai commencé à ressentir des douleurs au ventre. Alors que la douleur devenait sévère, j'ai commencé à ramper par terre. Linda, en tant qu'épouse aimante et attentionnée est venue m'aider, je lui ai dit de m'emmener dans la chambre. Elle l'a fait et m'a allongé doucement sur le lit.

« Chérie, ça ira », a-t-elle dit.

« Je suis là pour toi." Une femme si aimante.

J'ai commencé à trembler et j'ai commencé à mousser de la bouche, puis je suis mort.

Retour au présent : Linda a quitté le miroir et a marché vers le lit. Elle se tenait au-dessus de mon corps, avec un triomphe sur son visage.

Linda : "Idiot"

Je suis resté immobile mais je surveillais chacun de ses mouvements. Elle a pris son téléphone portable et a composé un numéro.

"Bonjour James", a-t-elle dit.

James ? Quel James ? James mon témoin et meilleur ami ?

"Bonjour mon cœur", c'était la voix de James, mon meilleur ami.

Linda : "Mon amour, j'ai une bonne nouvelle."

James : "Vraiment ? Laquelle ?"

Linda : "L'idiot est mort. "

James : "Qui ?"

"Claude non, tu ne te souviens pas de notre discussion ?"

James : "Oh oui, tu l'as vraiment fait ? Génial. Commence à pleurer j'arrive"

Mon témoin et meilleur ami aussi était dans le complot pour me tuer. Quel monde méchant.

Linda a stocké les documents dans un de ses sacs, est allée dans le miroir pour regarder son beau visage une fois de plus. Elle a réarrangé ses cheveux et s'est dirigée vers la porte. En ouvrant la porte, elle s'est retournée pour me regarder.

« Repose en paix », a-t-elle dit et est partie.

Je me suis levé tranquillement du lit, je suis allé vers son sac et j'ai récupéré le dossier contenant tous mes documents. Sur le dessus de l'armoire, le magnétoscope portable que j'avais planté là plus tôt était toujours en train de filmer, je l'ai récupéré et je l'ai éteint. Tranquillement comme le fantôme que j'étais, j'ai ouvert la fenêtre, je l'ai escaladée et j'ai disparu de la maison.

Les pleurs de Linda pouvaient être entendue à des milliers de kilomètres.

Je vais maintenant être un fantôme, pour tourmenter ceux qui m'ont tué. La ligne de bataille est tracée.