Charles Ateba Eyene l'avait dit, le Cameroun est le pays par excellence du magico-anal. Cette vérité est très vraie et plusieurs camerounais font des choses dont les conséquences sont souvent inimaginables pour elles-mêmes et leurs enfants, malheureusement.
Un célèbre avocat a réalisé quelques années, des rituels et enterré dans sa maison à Douala, plusieurs fétiches. Selon ses enfants qui ont découvert ces puissantes forces mystiques qui rodaient dans sa maison, des années après le décès de leur père, expliquent que toutes ces pratiques avait pour objectif de lui fournir pouvoir et autorité.
Succès, cet avocat a eu. Mais il a comme tout les mortels rendu l'âme à son créateur. Voici ce que les fétiches qui l'ont aidé font à ses enfants dont l'un parle dans le témoignage ci-dessous.
"ça fait 30 ans que nous avons perdu notre père (Avocat) dans de conditions tragique depuis son départ nous sombrons dans le noir, sa fait 5 mois qu' on nous a révélé qu'il avait enterré des fétiches chez nous pour avoir POUVOIR, AUTORITÉS et autre…
Nous avons essayé de défaire cela mais rien tout la famille est devenue zéro PAS DE TRAVAIL, PAS MARIAGE, PAS DE PAIX, TOUS ENVOÛTÉ AVEC LES MASQUES… Il y'a des herbes (comme alors verra) qu'il avait enterré derrière la maison c'est l'année dernière que ces herbes ont séché comme par miracle et même ses frères et ses autres femmes ont dit qu' il fallait qu'on détruise tous ce que notre père avait garder dans la concession de son vivant et que c'est la cause de sa mort précoce.
Ces herbes ne séchaient jamais depuis que je suis né j'ai trouvé ça et on nous explique que ça fait partir de ces multiples pratiques, pire encore, il était devenu subitement un marabouts et prétendait traité les gens en plus de son métier d'avocat, Depuis peu je vois chat et chat-tigre dans mes rêve.
SVP aidez nous oooo Comment briser et détruire ce sort qui nous persécuté au quotidien.
SVP ne me parlez pas de prière et jeûne si c'était la solution je serais libre depuis très longtemps même ceux qui ont fuis pour se réfugier dans les églises lisent l'heure en ce moment où je vous parle…"