Dans un reportage diffusé sur une chaîne de grande écoute canadienne, une Camerounaise fond à chaudes larmes, en expliquant que si elle rentre au Cameroun, une secte (Famla) à laquelle appartient son ex époux, risque de la tuer.
Ossomo Gandjisgi est une femme de nationalité camerounaise qui a travaillé ces dernières années au Canada où elle a immigré. La durée de son séjour étant arrivée à terme, les autorités canadiennes lui demandent de retourner chez elle.
Ce que ne veut naturellement pas cette dame. Pour arriver à ses fins, elle partage l'histoire d'une menace qui pèse sur sa vie.
"Si j'arrive aujourd'hui au Cameroun, on va me tuer et je sais même pas où on va m'enterrer", déclare la dame qui semble pleurer tous les larmes de son corps.
Après plusieurs années de travail, des Camerounais se sont vus intimer l'ordre de quitter le Canada, par les autorités de ce pays.
C'est le cas de Rose Eva qui est arrivée au Québec en 2017 pour faire une formation technique en programmation informatique à l’Institut Teccart à Montréal. Elle possédait déjà une maîtrise en finances de l’Université de Yaoundé au Cameroun, son pays natal. Sa sœur habitait déjà à Saint-Jérôme, ce qui a facilité sa venue au pays. La jeune femme étudiait à temps plein et travaillait à temps partiel dans une boutique de vêtements de Mirabel, comme la loi le lui permettait.
À force d’efforts, elle a réussi à prendre de l’avance pour terminer son programme avant les autres étudiants. Elle a obtenu son diplôme trois mois plus tôt que prévu.