Une autorité meurt dans un bar de rencontres homosexuelles à Yaoundé, voici ce qu'elle est allée faire

Le président de la République Paul Biya a perdu un élément valeureux ces dernières heures dans des conditions curieuses. Il est sorti de chez lui pour se rendre dans un endroit public très fréquenté. C’est alors que ce dernier est passé de vie à trépas sans qu’on ne sache pas véritablement s’il s’agit d’un assassinat déguisé en suicide ou si c’est un suicide tout court.

À ce propos, le lanceur d’alertes Nzui Manto qui a été l’une des sources à parler de la mort de ce fonctionnaire, a écrit : « Mort du commandant de la brigade de Tsinga. La deuxième version la plus plausible fait état de ce que le commandant Kolding Aristide après une réunion s'est rendu le soir dans un bar accompagné de plusieurs de ses collègues. Sur les lieux, il s'est saisi de son arme, la pointant contre sa poitrine avant le coup de feu irréversible ».

« "Emmenez-moi à l'hôpital !" s'exclame l'homme atteint d'une balle avant d'être déclaré mort quelques minutes plus tard où il souhaitait y aller. Accident sous l'impulsion de l'alcool ? Machination ? Ou assassinat maquillé ? La très expérimentée police scientifique camerounaise a du pain sur la planche », a-t-il ajouté avec un grand sarcasme.

Quelques heures après cette piste évoquée, la même source est revenue sur la question avec d’autres éléments complémentaires : « C'est dans un bar pour rencontres homosexuelles que le commandant de la brigade de Tsinga a trouvé la mort ».

Un indic nous confirme que « C’est sûr qu’il faisait une enquête là-bas. Et arriver a-t-il vu une ou plusieurs personnalités de ce pays ? Elles ont décidé de le liquider pour que ça ne fuite pas ? Les choses du pays ci. Pardon on regarde seulement. Depuis on attend Shakiro avec la liste, mademoiselle passe sa vie en mbeng (Europe, ndlr) à l’aise ».

Le public ne manque pas de commenter la situation : « Si un commandant de brigade qui est supposé être un chef-terre trouve accidentellement la mort dans un bar gay dans sa zone, cela ne pouvait pas être pour une enquête, car il est connu dans son arrondissement ; il aurait envoyé quelqu'un d'autre. Je penche beaucoup plus pour une histoire de jalousie qui a mal tourné ».

« Hum s'il était dans ses trucs là et il est mort dans cette condition impudicité sans repentance, aucune prière ne l'aidera. Dieu aide nous les vivants à avoir une bonne conduite », invoque un autre citoyen.