Veuve en garde à vue depuis 2 mois : son fils raconte l'horrible scène ; c'est touchant

Un antécédent ravive la flamme

Mon, 31 Jul 2023 Source: www.camerounweb.com

Nous évoquions ce cas social très touchant il y a quelques jours. Une veuve de la cinquantaine et plus a été placée en garde à vue depuis 2 mois déjà. Son fils a voulu rétablir la part de vérité et livre un témoignage glaçant.

« A cette date du 30 juillet 2023 ma mère est toujours en cellule depuis des semaines. Dernier fils de papa TCHIENGANG Jean décédé le 4 janvier 2023, je viens auprès de l’opinion public faire quelques modifications concernant le problème entre ma mère et sa co-épouse.

En effet je suis né le 11/02/1999 dans le domicile familial. C’est à l’âge de 13 ans que j’ai fait la connaissance de la 1ère femme de notre défunt père qui avait abandonné son foyer pendant plus de 10 ans. À son retour, on habitait tous ensemble dans l’immeuble de notre défunt papa qui lui avait donné un appartement d’où elle résidait avec tous ses enfants. Ma mère, mes frères et moi avions toujours vécu avec notre père jusqu’à sa mort.

Et je pense que mon père soit mort dû aux multiples plaintes aux tribunaux et les multiples bagarres à la maison, j’ai même une vidéo ou l’ainé brutalise le père et plus de 30 convocations sans oublier que tout le reste des enfants de la 1ère femme tapaient également sur le père y compris leur mère au vu de tout le quartier.

A la mort de mon père ma mère s’est retrouvé devant le Procureur de NDOKOTI parce que la 1ère femme voulait que le corps soit exposé dans son appartement en haut pour la levée de corps, alors que nous avons toujours vécu au rez de chaussé avec notre père qui est mort entre nos mains.

Cet acharnement sur notre mère est dû au fait que sa coépouse pense que c’est ma mère qui a conseillé à notre défunt père ne pas être à nouveau témoin de la 2ème vente d’un terrain qui avait déjà été vendu où elle a revendu à la hauteur de 120 millions de francs. Le père ayant refusé de cautionné la 2ème vente du terrain fût tabassé par les enfants de la 1ère femme à la maison devant moi.

C’est pour cela qu’ils font tout cela pour nous expulser de l’immeuble familiale où nous vivons tous ensemble pour pouvoir rembourser le monsieur du terrain qui a gagné le procès.

En ce qui concerne la seconde plainte pour coups et blessures, les enfants de la 1ère femme nous ont séquestré nous empêchant de sortir toute une nuit et c’est les frères de papa qui sont arrivés le matin et ont appelé la police du commissariat de 10 ème qui a envoyé 11 policiers.

Ils ont fait sortir la maman de la maison et je suis étonné qu’on me dise que ma mère a marché sur sa coépouse alors qu’il suffit juste de regarder le rapport de la police qui était présent ce jour. Deux de ses ont enfants été embarqué par les éléments de la police à cause des injures envers la Police.

J’ai constaté que ma sœur qui a pourtant un master en droit avait en ce jour en sa possession une copie du mandat d’emmener délivré par le procureur qu’elle brandissait devant les policiers, je ne sais pas si un civil a le droit d’avoir ce type de document.

Et tous ces problèmes on fait en sorte que je ne puisse pas étudier normalement pour réussir à mon BAC. J’ai ici en ma possession plus de 30 convocations reçue par notre défunt père venant de la 1ère femme qui passait tout le temps à le trainer dans les commissariats, Gendarmerie et Tribunaux Ndokoti.

Ma mère est gardée actuellement pour 2 motifs :

- Pour faux et usage de faux (acte de mariage)

- Pour coups et blessures.

Je tiens à informer à l’opinion publique que les témoins du mariage de mon père et ma mère ont été convoqué à la police et ont répondu présent donc l’acte de mariage de ma mère ne souffre de rien.

Ma grande sœur fille de la 1ère femme qui a un master en droit qui est au centre de tous ces problèmes a essayé de soudoyer les responsables de la marie de BAHAM pour récupérer la souche de l’acte de mariage de ma mère mais en retour n’a reçu que des copies grâce à la complicité de certains agents du Bunec.

Et nous pensons que c’est acharnement est dû au fait qu’ils ont perdu le procès avec le propriétaire du terrain et ils leurs faut rembourser la somme de 135 millions décidé par le Tribunal de Bonanjo. De ce fait, ils nous expulser de l’immeuble familiale pour ensuite la vendre.

Moi, dernier fils de Papa TCHIENGANG Jean décédé entre mes mains au domicile familiale.

Source: www.camerounweb.com