Il y a quelques jours, un homme cocufié a surpris sa femme en plein acte d’adultère dans leur chambre conjugale. C’était la stupeur totale. Il était parti dans ses activités, comme à chaque début de matinée, pour chercher de quoi nourrir sa famille.
Heureusement pour lui et malheureusement pour les deux (02) amants, ce jour-là, le mari est rentré plus tôt que prévu. C’est alors qu’il découvert le petit jeu de trahison de sa tendre épouse. Il les a forcés à finir ce qu’ils avaient commencé.
Le mari trompé, armé de machette, a donné l’ordre à sa femme et à son principal rival de ne surtout pas arrêter : « Je dis fais, fais bien, mets bien, mets le p€nis, fais comme d’habitude », répétait-il à l’homme nu couché sur la femme qui l’était tout autant.
Le monsieur a pris le soin de filmer la séance de vengeance et a diffusé plus tard la vidéo torride sur la toile. Rapidement, elle est devenue virale, tout le monde a pu la voir dans les groupes WhatsApp et dans les canaux Telegram.
La nouvelle est rapidement arrivée aux oreilles des autorités qui ont également découvert les images. Le mari berné ne s’est pas seulement contenté de filmer la partie de plaisir, il a aussi frappé l’amant avec sa machette, ce qui a fait couler beaucoup de sang dans la pièce.
« J'ai reçu la fameuse vidéo et mon avis est hyper simple et sans appel. M. Medomo qui est le mari cocufié est coupable et doit donc juridiquement être poursuivi pour menaces, tentative d'assassinat sur la personne de l'amant de son épouse et diffusion d'obscénités sur les réseaux sociaux », introduit un activiste qui a l’air de s’y connaître en droit.
Il évoque le cas de « madame Medomo qui doit être poursuivie pour flagrant délit d'adultère. Donc son mari obtient le divorce en sa faveur et elle perd tout ».
Pour « l'amant de madame Medomo, elle doit être poursuivi pour violation du domicile conjugal d'autrui. Les trois (03) protagonistes sont donc justiciables et personne ne sortira gagnant de tout cela puisque M. Medomo risque la prison, madame Medomo est humilié à vie dans son image et son honneur, l'amant s'en sort avec des lésions à vie », précise-t-il.
En effet, « si M. Medomo n'avait aucun droit de se rendre justice à lui-même, soyons clairs qu'une femme légalement mariée qui part jusqu'à tromper son époux dans leur lit conjugal est une femme qui ne mérite aucun pardon ni circonstances atténuantes. Le lit conjugal est l'endroit le plus sacré de la vie maritale », rappelle la source.
C’est tout comme « un homme qui part jusqu'à accepter de coucher avec la femme d'autrui dans le lit conjugal du mari de celle-ci ne mérite aucune faveur. En conclusion, la violence n'est pas du tout justifiable bien qu'il n'est pas du tout évident de garder son calme dans certains cas ».