« Il y a vi0leur et violeur, et le mien était un type doux et bon » a justifié une fille victime d’un viol. A en croire le témoignage de la jeune fille, son violeur a marqué des points importants en consommant son acte de façon unilatéral et avec force.
C’est dans la petite localité d’Itoumbi, au nord du Congo que la victime, Solange A se souvient encore de sa tragique soirée pour ses amies et douce selon elle. Alors qu’elle rentre d’une visite chez son oncle, elle est abordée par un jeune homme qui la contraint sous la menace d’une arme blanche à le suivre dans la petite forêt.
Elle est violée de façon très violente par le jeune homme, qui menace de la tuer au cas où elle criait. Solange consent et se laisse faire, accompagnant même son violeur dans l’acte. Le violeur est surpris de voir sa victime gémir et même l’embrasser. Le violeur au départ hésite de suivre de peur de se voir couper la langue par morsure.
La grande surprise va arriver après que le violeur ait l'achevé son coup. Alors qu’il tente de se rhabiller, Solange ne partage pas son avis et lui demande de terminer ce qu’il a commencé. La jeune fille dit ne pas avoir jouit contrairement à lui. Elle estime que l’objectif d’une relation sexuelle est la jouissance des personnes engagées dans cet acte.
Le violeur propose de changer de lieu, et de l’accompagner chez lui. Proposition à laquelle la jeune fille a donné son accord. C’est le lendemain, un peu avant midi que la jeune fille quitte le domicile de son violeur après avoir toute la nuit profité de lui. « Désormais, si tu veux de moi ou d’une autre fille, utilise la parole et non la violence » lui suggère Solange avant de s’en aller.