Violent clash entre Chantal Biya et Lady Ponce : voici pourquoi la Première dame aurait chassé la chanteuse d'Etoudi

Les raisons sont choquantes

Wed, 8 Nov 2023 Source: www.camerounweb.com

Pendant des années, Lady Ponce a été une figure incontournable lors des événements organisés par la présidence de la République au Cameroun. Elle faisait partie des artistes privilégiés qui se produisaient lors de ces occasions spéciales.

À cette époque, la diva de la musique semblait entretenir des relations privilégiées avec les membres influents du gouvernement à Yaoundé. Elle semblait ne pas se préoccuper des abus et des maltraitances perpétrés par les hauts dignitaires du régime qu'elle fréquentait.

Selon les allégations non étayées du lanceur d'alertes Boris Bertolt, Lady Ponce aurait eu une liaison avec un haut responsable de la présidence de la République. Les relations entre eux auraient pris une tournure controversée, incitant ainsi la Première dame, Chantal Biya, à évincer l'artiste.

Boris Bertolt commente : « Lady Ponce, lorsque ton ancien compagnon, l'homme à la punk, t'a fait bénéficier de dizaines de millions à la présidence avant que Chantal Biya ne te mette à la porte, tu ne pensais pas aux autres artistes. Laisse les autres avoir leur part quand tu n'en as plus. »

Mais quel acte de Lady Ponce a poussé la Première dame à prendre cette décision radicale ? Une publication de Moustik Karismatik offre un éclairage sur cette affaire délicate.

« Quand tu profitais de l'argent des marchés liés à la présidence du Cameroun, la vie était douce. Mais depuis que le robinet s'est fermé en raison des intrigues que nous connaissons tous, tu te comportes en superwoman. Commence par rémunérer dignement tes danseurs avec les cachets que tu perçois », lance Moustik Karismatik à son ancienne amie, Lady Ponce.

Ces révélations mettent en lumière les dessous d'un conflit intrigant entre l'artiste renommée et la Première dame, jetant ainsi un éclairage cru sur les réalités souvent opaques du monde de la musique et du pouvoir au Cameroun.

Source: www.camerounweb.com