Voici pourquoi Paul Biya et ses vieillards confisquent le pouvoir et refusent la double nationalité

Rémy Ngono évoque les camerounais qui ont profité de la double nationalité dans les autres pays étrangers. Le chroniqueur sportif dans plusieurs médias français estime que Paul Biya et sa bande de vieillards confisquent le pouvoir et refusent la double nationalité.

Voir ci-dessous l’intégralité de son propos :

Paul Biya et sa bande de vieillards qui confisquent le pouvoir et refusent la double nationalité, ont fait le triplé de CHAMPIONS DU MONDE DE LA CORRUPTION. Auriol Dongmo a fui la galère du Cameroun pour aller en Europe. 9 mois après avoir pris la nationalité portugaise, elle est devenue championne du monde du lancer de poids en salle vendredi 18 mars 2022 à Belgrade.

Francis Ngannou a fui la misère de creuseur de sable au Cameroun pour prendre la route du désert et a traversé la mer pour venir se réfugier dans un garage en France en 2013. Il est maintenant champion du monde des poids lourds UFC depuis le 27 mars 2021.

Samuel Eto’o a quitté le Cameroun à 15 ans pour venir se chercher en France. Il a pris la nationalité espagnole et a remporté le trophée de champion du monde des clubs en 2010

Richard Bona a fui le Cameroun pour la Côte d’Ivoire, puis la France, avant de s’installer aux Etats-Unis. Il a pris la nationalité américaine. Il a remporté le Grand Prix du Jazz et le Grammy Awards en 2012. Maintenant qu’il déchire son passeport camerounais qui ne lui sert à rien, les mêmes gens qui lui ont refusé le visa pour retourner enterrer sa maman au Cameroun disent qu’ils l’attendent au pays pour lire l’heure.

Donc, à part champion du monde de la corruption et champion du monde du poison et du mauvais cœur, quel trophée le Cameroun peut remporter sans la diaspora ?

NB : tous les titulaires des lions indomptables du Cameroun qui vont jouer contre l’Algérie évoluent dans la diaspora et 99% ne sont plus camerounais. La loi camerounaise ne reconnait pas la double nationalité. Désormais, appelez- les lions indomptables de la diaspora.

REMY NGONO