Les pratiques sordides et surtout homose.xuelles existent bien dans les bureaux de l’administration publique camerounaise. Un nombre incalculable de fois, il a déjà été fuité dans la presse que des ministres, directeurs de société, hommes influents, etc. s’adonnent en cachette à ces pratiques dont ils tirent un vilain plaisir et qui leur permettraient de renforcer leurs capacités spirituelles.
Par le passé, des journalistes et lanceurs d’alertes divers ont révélé des scandales s.exuels incroyables dans lesquels sont impliqués des ministres, des personnes très proches du gouvernement en place, des membres du régime Biya, etc.
Aujourd’hui, il est donné pour sûr que le mal persiste toujours. Les auteurs n’ont jamais arrêté. C’est un cercle très fermé, difficile à remonter. Mais par moments, certains d’entre ces hauts cadres laissent de façon non désirée des traces derrière eux, comme ce ministre dont parle le blogueur Jacques Jorel Zang sur les réseaux sociaux.
« "Monsieur vous avez un beau derrière hein". Voilà ce qu'un ministre de la République (bien connu par vous) vient de dire ce matin à mon cousin dans son bureau.
Je tiens à préciser que mon cousin-là est dans les ways de la presby et autres en plus c'est un haut cadre d'administration et il m'insulte souvent ici que je salie l'image du Cameroun.
Le gars m'appelle donc tout à l'heure car décontenancé et scandalisé en me disant que vraiment le Cameroun est sale.
Et il me demande même si c'est ce qu'il pense que c'est "ça-là". À moi de lui dire : "Tu poses encore la réponse". Donc c'est toi qui dis aujourd'hui que le Cameroun est sale ? Lol.
En tout cas c'est bien "ça-là". Tu vas sauf que bouffer la tontine anale. Vous n'avez pas dit que vous aimez les kankans relations. C'est ton problème. NB : les choses du 237 sont toujours un genre-genre », raconte Zang.
Les internautes sont aussi visiblement au courant de la pratique : « S'il ne baisse pas la culotte soit il va perdre son emploi. Au meilleur des cas il va perdre ses privilèges et devenir employé ordinaire », dit l’un d’entre eux.
« Wombooo, massa le ministre-là a vu la bosse wokoo, incroyable » ; « au Cameroun le succès ne tombe pas du ciel, il faut être prêt à sacrifier son derrière pour saisir l'opportunité », ajoutent deux (02) autres.