Mbaïdiguim Esaïe est de nationalité tchadienne
• Encore un braquage mortel à Yaoundé
• Un étudiant a été tué
• Sa moto est emportée
C’est la tristesse à Yaoundé. Les braqueurs viennent de passer un coup mortel. Un étudiant a été braqué et son engin emporté.
De sources concordantes, il s’agit de l’étudiant nommé Mbaïdiguim Esaïe. Il a été assassiné à Yaoundé par des individus non encore identifiés.
Clandoman à ses heures perdues, il a été agressé aux environs de 18 heures près de la SNH. Sa moto a été emportée par les brigands.
La Gendarmerie des quartiers Nlongkak et BASTOS est alertée en vue de mener une enquête. Pour l’heure, le corps est déposé à la morgue.
Mbaïdiguim Esaïe est de nationalité tchadienne. Il est étudiant en IM3 à l'Institut Panafricain de Formation Paramédicale. Il serait le fils de Nadjingar Désiré et de Mourkonyo Julia. Un avis de recherche est lancé en vue de retrouver ses parents.
Yaoundé : arrestation de redoutables braqueurs dont l’âge est compris entre 16 et 21 ans
Des redoutables malfaiteurs ont été arrêté par les gendarmes à Yaoundé. Fait marquant, parmi ces braqueurs, des mineurs de 16 ans. L’on se demande ce qui aurait pu emmener ces enfants à adopter de tels actes.
Agés de 16 à 21 ans, ils ont été mis aux arrêts par la gendarmerie à Yaoundé. En effet, les 3 malfrats ont été interpellés par la gendarmerie dans la nuit du 6 au 7 mai dernier. Ils venaient d’agresser et dépouiller encore une victime.
Alertés quelques heures après le forfait, les hommes de la brigade de la gendarmerie de Ngousso ont lancé une chasse à ces jeunes malfaiteurs en vue de leur arrestation au lieu-dit esplanade Omnisports.
« La suite des investigations a permis de retenir d’autres infractions à l’encontre de ces présumés hors-la-loi, en l’occurrence les infractions de vol en coaction, violence et voies de fait, détention et consommation des stupéfiants, défaut de carte nationale d’identité, entre autres », indique la gendarmerie nationale dans un communiqué.
Les trois jeunes suspects ont été déférés devant la justice, le 9 mai dernier pour répondre de leurs actes. Des complices présumés sont activement recherchés.
