• La dame a cassé la tête de sa rivale avec une bouteille de coca coca
• Elle a ensuite pris la fuite
• Il s'agit d'une véritable scène de pugilat
L'homme entretenait des relations avec sa maitresse dans le lit conjugale depuis plusieurs mois, au vu et au su de ses voisins qui ont fini par vendre la mèche à sa femme.
La scène s'est passée dans la nuit du lundi 24 janvier. L'homme était en train de s'envoyer en l'air avec sa maîtresse quand sa femme, alertée par les voisins, a débarqué avec une bouteille à la main et très en colère.
"Le joueur avait profité de l'absence de son épouse pour inviter sa tchiza à la maison regarder ensemble le match des lions indomptables. Le match de foot se transformera en concassage et écrasage valablement de pistache. Le couple chacun enfoncé dans l'autre sera surpris par l'arrivée soudaine de l'épouse cocue qui déçue se servira d'une bouteille de coca-cola qu'elle dosera sur la tête de la tchiza laissant celle-ci le visage ensanglanté avant de prendre la fuite", nous apprend une source.
Les scènes de couples surtout motivées par l'infidélité peuvent être tragiques.
En novembre 2021, un homme du nom de Tsafack Raoul a plante un couteau dans le cœur de son ex puis disparaît dans la nature.
Tout allait bien dans la vie de la victime depuis qu'elle s'est séparée de son bourreau qui n'est autre que son ex-mari, il y a quelques mois. Ce dernier
pour un oui ou un non, ou un simple soupçon, aurait à plusieurs reprises, dans le passé, roué de coups sa victime. Pour elle, c'était fuir cette union ou
perdre sa vie. Mais il semble que Tsafack Raoul a fait aussi son choix: continuer à lui taper dessous pour enfin la tuer un jour.
"Le dénommé Tsafack Raoul a planté un couteau dans la poitrine de Christelle Wette, son ex compagne dans la nuit du vendredi à samedi au quartier
Bonaberi à Douala. La jeune femme l'avait quitté pour pour des raisons de violences conjugales", avait-on appris.
Au Cameroun, 31% de femmes subissent des violences physiques, selon l'enquête par grappes à indicateurs multiples (MICS 5) réalisée en 2014.
D'après la même étude, 14% ont subi des violences sexuelles et 47% de femmes et filles ont connu des violences émotionnelles. Cependant, aucune donnée concernant le nombre de femmes qui décèdent des suites de violences conjugales n'a pu être obtenue. Les données statistiques disponibles soulignent la gravité du phénomène et des conséquences qui en découlent.