Ils ont été arrêtés en Centrafrique
• Ils sont des Camerounais
• Ils se font passer pour des homosexuels
• Ils ont été arrêtés en Centrafrique
Ils sont plusieurs Camerounais identifiés comme des escrocs se faisant passer pour des homosexuels. Longtemps cachés sous leurs robes, ils seront démasqués après plusieurs mois d’escroquerie.
Ces présumés homosexuels ont été finalement capturés à l'hôtel par la police centrafricaine. Pour l’heure, seulement deux personnes ont été démasquées.
« Lolos pointus, derrières shakirosés, rouge à lèvres Rosa, perruques brésiliennes et sac Prada, cassant la démarche féminisée par les talons de leur cosse-cosse, les deux schématiseurs répondaient à chaque "Bonjour" par une danse Wopso », a écrit le lanceur d’alertes Nzui Manto.
La police centrafricaine indique que ces deux camerounais sont arrivés en Centrafrique il y a pratiquement 7 mois. Selon la source policière, les escrocs, se f sont fait passer auprès du HCR (haut-commissariat des réfugiés pour les nations unies) pour des réfugiés sexuels pourchassés dans leur pays le Cameroun de Paul Biya, hostile aux homosexuels.
« Partis à la conquête du monde comme l'avait encouragé le premier Camerounais, ces deux joueurs jetteront leur dévolu sur la République centrafricaine réputé comme la terre des mougous où ils se feront passer auprès du HCR (haut-commissariat des réfugiés pour les nations unies) pour des réfugiés sexuels pourchassés aux lattes dans leur pays le Cameroun hostile aux ‘mademoiseaux’ », indique Nzui Manto.
« Pendant 7 mois ils seront logés, nourris, vêtis, dans un hôtel 5 étoiles de la capitale attendant certainement le visa arc-en-ciel Européen. C'est à la tombée de la nuit que chaque match aura lieu ! Comme Roger Milla foulant la pelouse à la 70e minutes, les deux joueurs enfileront strings, garnitures, soutiens gorges mimant les refrains de bébé Manga lors des rencontres avec les mougous. Mais le schéma n'étant pas une science exacte, ils seront capturés et leurs costauds noyaux mis à découvert ! Je m'arrête là », a conclu le lanceur d’alertes.
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