Les éléments du GIGPN sont toujours au front
• Les éléments du GIGPN sont toujours au front
• Ils ont reçu une formation
• La France donne son expertise
Les terroristes ont pris d'assaut plusieurs pays africains. L'Afrique de l'ouest et l'Afrique centrale sont les plus grandes victimes. Au Cameroun, la guerre du NOSO a fait couler beaucoup de sang et les populations ont payé le lourd tribut.
Pour faire face à la recrudescence des terroristes, la France a apporté son soutien en outillant les hommes sur les techniques d’intervention en cas d’attaque terroriste.
Ils sont donc au total 30 éléments du GPIGN à bénéficier d'un renforcement de capacités grâce à la coopération avec la France.
Selon le GPIGN, cette formation de niveau très soutenu a englobé les aspects théoriques et pratiques. Au plan théorique, les enseignements techniques, notamment sur les bases et fondamentaux en intervention ont été révisés. Ainsi, les stagiaires ont vu leurs aptitudes renforcées sur l’utilisation du bouclier balistique, les formats synthétiques de la préparation d’une mission, les différents jeux de rôle, la coordination, la gestion d’un forcené, d’une prise d’otages et d’une tuerie de masse, l’assaut sur un Bus et un bref aperçu sur la négociation.
Plusieurs exercices ont meublé la formation. « Le premier exercice s’est déroulé dans un Hôtel à Mbankomo, le second dans un hypermarché de la place et le troisième était un exercice de synthèse au Palais Polyvalent des Sports de Yaoundé.
