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En cette fin d'année, on enregistre déjà des faits macabres et rocambolesques qui sont sujettes à questionnement. Douala, Sangmelima et Bandjoun connaissent depuis peu des décès assez bizarres. On retrouve des filles mortes avec, des organes sexuels et dents enlevés. Des enfants qui égorgent leurs mamans et les décapite.
C'est ainsi que dans la ville de Sangmelima où selon des informations concordantes un fille, invitée dans une chambre d'un auberge de Sangmelima, pour passer du bons moment avec un homme qui disait vivre à l'étranger et avec lequel elle s'était présentée bras dessus bras dessous à la réception de l'auberge a été retrouvée attachée avec des dents ôtées. Visiblement, selon les avis glanés, elle a été manifestement droguée et ensuite tuée par son soit disant amoureux.
Dans la ville de Douala, Chef lieu de la région du Littoral, plus précisément au quartier Bekoko, sur 9 filles qui étaient portées disparues, 5 ont été retrouvées mortes et les organes emportés. Toujours dans la région du Littoral mais cette fois-ci à Dibombari au lieu dit Bwadibo, le cadavre d'une jeune femme découvert vidé de ses organes. La victime âgée d'une vingtaine d'années était recherchée depuis vendredi dernier par sa famille. Elle a été découverte assassinée la dépouille abandonnée dans champ. Ses organes y compris son vagin ont été emportés par ses bourreaux.
À Bandjoun, une dame a été égorgée par des personnes jusqu'ici non identifiées. Les images et vidéos en notre possession sont choquantes et insoutenables. Aucune information ne filtre sur l'identité de la victime. Mais les premières informations nous renseignent que la dame en question est quittée de Douala pour se rendre à Bandjoun où elle devait organiser au mariage de sa fille. Une fois à Bandjoun, elle est allée rendre visite à sa sœur aînée et c'est là où elle a été assassinée.
La scène s'est déroulée hier mardi aux environs de 14h au quartier Kam-Gwike non loin du lycée de Bandjoun.
Ses bourreaux ont pris la poudre d'escampette après leur forfait. On ne sait pour l'instant s'il s'agit d'un règlement de compte.
On se souvient encore en août dernier, Marie France MBEYA âgée de 57 ans se faisait décapitée par sa belle sœur. En effet la femme de son frère cadet, au nom de Désiré Beyanga l'a assassinée, décapitée puis emballer son corps dans une valise à l'hôtel le Mendzang, situé à la descente du lycée de Biyem-Assi à Yaoundé. À croire aux témoignages, Désiré Beyanga, aurait fait venir sa belle sœur à l'hôtel. C'est une fois dans la chambre d'hôtel qu'elle va lui ôter la vie. Dans la nuit, aux environs de 22h, elle reviendra à l'hôtel avec une valise dans lequel elle a dissimulé le corps de Marie France. C'est au moment de sortir de l'hôtel qu'un employé se rendra compte qu'elle a du mal à transporter ladite valise. Il va lui proposer de l'aider à faire descendre la valise au rez-de-chaussée en vain. C'est ainsi qu'il suspecte quelque chose de louche et fera appel à ses collègues qui viendront l'obliger de montrer ce qu'elle transporte. Elle va essayer dans un premier temps de les dissuader que c'est la nourriture. Mais, ils vont arracher la valise et découvrir qu'il s'agit d'un être humain.
Selon les déclarations de Désiré Beyanga, elle avait une dette de 4 millions dans une réunion
Elle s'est abonnée dans sur une page sur Facebook dénommée Richesse, c'est de là qu'on lui a promis cinq cent millions de fcfa si elle déposait le corps de quelqu'un dans un lieu qu'on lui avait indiqué.
Il est donc question de redoubler de vigilance en cette fin d'année où cette pratique est plus que toujours presente.
